M. Daniel Kablan Duncan était le mercredi 5 mars dans un hôtel au Plateau où, en temps que parrain de la Cellule d’analyse de la politique économique du Cires (Capec), il a pris part à la cérémonie de clôture des 20 ans de cette structure. Le Premier ministre a prononcé une conférence sur le thème : « La vision du gouvernement, relative aux structures de renforcement des capacités telles que la Capec ».
Le Premier ministre a rappelé que le pays maintient le cap : celui de devenir un pays émergent, à l’horizon 2020. Tous ces changements nécessaires à l’atteinte de cet objectif, ne peuvent selon lui, s’obtenir sans innovations technologiques, mais aussi et surtout sans le renforcement permanent des capacités des différentes institutions et structures en charge de conduire les reformes et l’action publique. Pour Duncan, le déterminant important du rythme de la croissance économique, demeure l’acquisition du savoir. « Le gap entre pays en voie de développement, pays émergents et pays développés, ne peut ainsi se réduire sans des investissements importants dans la formation, la recherche et le développement », a-t-il indiqué. Face à la concurrence sur les marchés, le Premier ministre assure que notre compétitivité ne se fera pas sans une appropriation réelle du savoir et du savoir-faire global. C’est pourquoi les structures de renforcement de capacités de notoriété comme la Capecn le Gpe, le Cires, le Bnetd, l’Ensea…sont appelées à contribuer. A propos du renforcement des capacités, le Premier a dit que le PNUD le définit comme un processus permanent par lequel une personne, ou une organisation améliore son aptitude à s’acquitter de ses fonctions principales. A résoudre des problèmes, à définir des objectifs et à les atteindre. « La réussite du chantier de l’émergence exige un cadre efficace et efficient de collaborateurs entre les détenteurs du savoir et du savoir-faire et ceux qui sont dans le besoin d’accroissement de leurs capabilités », a professé le Premier ministre. Et de poursuivre, le gouvernement va de plus en plus faire appel à des structures comme la Capec. Pour cela, il faut qu’elle gagne en excellence et arrive à favoriser plus de synergies entre elles et les potentiels bénéficiaires de ses activités. M. Komena Mougou qui recevait Duncan, Komena, le président du comité de pilotage de la Capec, a fait une rétrospective des 20 ans d’activités de la structure. C’est en 1993 que la Capec a démarré ses actions. 20 après, ce sont plus de 1254 cadres qui ont été formés sur différentes thématiques et ce sont aussi des milliers de travaux mis à la disposition des organismes publics et privés, en Côte d’Ivoire comme à l’étranger.
Olivier Guédé
Le Premier ministre a rappelé que le pays maintient le cap : celui de devenir un pays émergent, à l’horizon 2020. Tous ces changements nécessaires à l’atteinte de cet objectif, ne peuvent selon lui, s’obtenir sans innovations technologiques, mais aussi et surtout sans le renforcement permanent des capacités des différentes institutions et structures en charge de conduire les reformes et l’action publique. Pour Duncan, le déterminant important du rythme de la croissance économique, demeure l’acquisition du savoir. « Le gap entre pays en voie de développement, pays émergents et pays développés, ne peut ainsi se réduire sans des investissements importants dans la formation, la recherche et le développement », a-t-il indiqué. Face à la concurrence sur les marchés, le Premier ministre assure que notre compétitivité ne se fera pas sans une appropriation réelle du savoir et du savoir-faire global. C’est pourquoi les structures de renforcement de capacités de notoriété comme la Capecn le Gpe, le Cires, le Bnetd, l’Ensea…sont appelées à contribuer. A propos du renforcement des capacités, le Premier a dit que le PNUD le définit comme un processus permanent par lequel une personne, ou une organisation améliore son aptitude à s’acquitter de ses fonctions principales. A résoudre des problèmes, à définir des objectifs et à les atteindre. « La réussite du chantier de l’émergence exige un cadre efficace et efficient de collaborateurs entre les détenteurs du savoir et du savoir-faire et ceux qui sont dans le besoin d’accroissement de leurs capabilités », a professé le Premier ministre. Et de poursuivre, le gouvernement va de plus en plus faire appel à des structures comme la Capec. Pour cela, il faut qu’elle gagne en excellence et arrive à favoriser plus de synergies entre elles et les potentiels bénéficiaires de ses activités. M. Komena Mougou qui recevait Duncan, Komena, le président du comité de pilotage de la Capec, a fait une rétrospective des 20 ans d’activités de la structure. C’est en 1993 que la Capec a démarré ses actions. 20 après, ce sont plus de 1254 cadres qui ont été formés sur différentes thématiques et ce sont aussi des milliers de travaux mis à la disposition des organismes publics et privés, en Côte d’Ivoire comme à l’étranger.
Olivier Guédé