L’équipe du Comité Miss Côte d’Ivoire (COMICI), pour la 4ème étape des présélections du concours national de la beauté féminine, était le samedi 8 mars 2014 dans la capitale politique. Yamoussoukro qui a son actif quatre (4) sacres, veut demeurer la terre des miss, en remportant, cette année, un cinquième titre.
Pour réussir la passe de 5, la région du Bélier misera sur Koffi Marie Fidèle. L’étudiante en 3ème année de Droit public à l’Université Catholique de l’Afrique de l’Ouest (UCAO) a dominé la présélection de Yamoussoukro. Âgée de 21 ans, Koffi Marie Fidèle (1,71m ; 54kg) est arrivée en tête avec 144 points sur 180 soit une moyenne de 8 sur 10. La Miss du District a donné ses impressions : « J’entends donner le meilleur de moi-même pour offrir un cinquième titre à Yamoussoukro ». A la finale du 7 juin prochain, Yamoussoukro comptera également sur N’goran Dominique (18 ans, 1,69 m ; 57 kg). La première dauphine (élève en terminale A2 au Lycée Commandant Cousteau à Cocody-Angré) elle a obtenu 141 points et une moyenne de 7,83. La troisième place de cette présélection a été occupée par Kouamé Marie-Louise. L’étudiante en première année de Droit à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké (18 ans, 1,75 m ; 62 kg) a été élue deuxième dauphine avec 134 points soit une moyenne de 7,44. Le Gouverneur du District de Yamoussoukro, Augustin Thiam, a traduit sa volonté de voir les élues de sa région, remporter le titre national. Augustin Thiam veut que, « Yamoussoukro puisse s'enorgueillir d’être considéré comme la terre des miss ». Cette cérémonie en parallèle avec la journée internationale de la femme, a été une occasion pour le Gouverneur du District de Yamoussoukro de rendre un hommage à la gente féminine : « C’est vous qui guidez nos premiers pas, qui assurez notre éducation. Nous vous demandons pardon, pour toutes les méchancetés que nous vous faisons », a-t-il reconnu. Pour le Gouverneur du District, l’émergence de la Côte d’Ivoire ne peut se faire sans une réelle implication des femmes. Aussi, ajoutera-t-il « L’émergence ne se résume pas en une croissance à deux chiffres ». Elle doit aussi donner sur la prise en compte des dimensions culturelles et éducatives. L’historique de Yamoussoukro dans le palmarès de Miss-CI fait état de Cecilia Valentin (1988, elle est décédée en 2004), Rami Aïcha Kéita (1997), Dodo Sylviane (1999) et Linda Delon Kouamé en (2000). Elles ont permis à Yamoussoukro d’être, par 4 fois, sur la plus haute marche du podium. Jamais 4 sans 5 ?
R.Dibi
Pour réussir la passe de 5, la région du Bélier misera sur Koffi Marie Fidèle. L’étudiante en 3ème année de Droit public à l’Université Catholique de l’Afrique de l’Ouest (UCAO) a dominé la présélection de Yamoussoukro. Âgée de 21 ans, Koffi Marie Fidèle (1,71m ; 54kg) est arrivée en tête avec 144 points sur 180 soit une moyenne de 8 sur 10. La Miss du District a donné ses impressions : « J’entends donner le meilleur de moi-même pour offrir un cinquième titre à Yamoussoukro ». A la finale du 7 juin prochain, Yamoussoukro comptera également sur N’goran Dominique (18 ans, 1,69 m ; 57 kg). La première dauphine (élève en terminale A2 au Lycée Commandant Cousteau à Cocody-Angré) elle a obtenu 141 points et une moyenne de 7,83. La troisième place de cette présélection a été occupée par Kouamé Marie-Louise. L’étudiante en première année de Droit à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké (18 ans, 1,75 m ; 62 kg) a été élue deuxième dauphine avec 134 points soit une moyenne de 7,44. Le Gouverneur du District de Yamoussoukro, Augustin Thiam, a traduit sa volonté de voir les élues de sa région, remporter le titre national. Augustin Thiam veut que, « Yamoussoukro puisse s'enorgueillir d’être considéré comme la terre des miss ». Cette cérémonie en parallèle avec la journée internationale de la femme, a été une occasion pour le Gouverneur du District de Yamoussoukro de rendre un hommage à la gente féminine : « C’est vous qui guidez nos premiers pas, qui assurez notre éducation. Nous vous demandons pardon, pour toutes les méchancetés que nous vous faisons », a-t-il reconnu. Pour le Gouverneur du District, l’émergence de la Côte d’Ivoire ne peut se faire sans une réelle implication des femmes. Aussi, ajoutera-t-il « L’émergence ne se résume pas en une croissance à deux chiffres ». Elle doit aussi donner sur la prise en compte des dimensions culturelles et éducatives. L’historique de Yamoussoukro dans le palmarès de Miss-CI fait état de Cecilia Valentin (1988, elle est décédée en 2004), Rami Aïcha Kéita (1997), Dodo Sylviane (1999) et Linda Delon Kouamé en (2000). Elles ont permis à Yamoussoukro d’être, par 4 fois, sur la plus haute marche du podium. Jamais 4 sans 5 ?
R.Dibi
