C’est un lieu commun de dire que le président de la République, Alassane Ouattara, est profondément attaché à la paix, au développement de son pays et au bien-être de ses concitoyens. En effet, depuis qu’il a pris les rênes d’une Côte d’Ivoire complètement à terre et balafrée par les troubles successives, couronnées par la douloureuse en meurtrière crise postélectorale qui a fait officiellement 3000 morts, le premier citoyen ivoirien ne ménage aucun effort dans son combat pour la restauration de la confiance, de la cohésion sociale et de la paix. Le chef de l’Etat multiplie, en outre, les actions en faveurs de la réconciliation nationale afin de cicatriser les plaies de la société ivoirienne, après la décennie de crise endurée par un pays qui aspire aujourd’hui plus que jamais à fermer définitivement cette dramatique parenthèse en retrouvant sa place dans le concert des nations et surtout son statut de pays leader de la sous-région ouest-africaine. «Quelque part en Côte d’Ivoire, une famille pleure. Elle pleure, la disparition d’un père, d’une mère, d’un enfant, d’un proche, arraché trop tôt à son affection, victime innocente des multiples crises qui ont ébranlé notre pays depuis 1999. Je voudrais, à nouveau, exprimer ma profonde compassion à toutes ces familles éplorées et aux victimes des événements tragiques que notre pays a connus.
Comme dans tout pays qui a connu la guerre, les c?urs et les esprits sont remplis de questions. Des questions sur ce douloureux passé, mais aussi des questions sur le présent et sur l’avenir. Si nous sommes rassemblés aujourd’hui, c’est pour nous donner les moyens de trouver des réponses à ces questions. Nous le devons à nos concitoyens. Nous le devons à toutes les familles endeuillées, mais surtout aux générations futures. Mais notre plus grand chantier demeure celui de la reconstitution de la Nation ivoirienne. Nous devons travailler sans relâche au retour de la confiance entre toutes les filles et tous les fils de notre pays. La réconciliation doit être l’affaire de tous. Je lance donc un appel à tous mes compatriotes à, s’inscrire dans le processus», a invité le chef de l’Etat, le 28 septembre 2011, en marge de la cérémonie officielle d’installation de la Commission, dialogue, vérité et réconciliation à Yamoussoukro. Ceux des Ivoiriens qui ont pensé à des mots lancés en l’air et qui ont douté de leur sincérité, ont dû revoir leur copie face à la détermination du locataire du palais présidentiel du Plateau à chasser de la Côte d’Ivoire les démons de la haine et de la division. Le dégel des comptes des anciens dirigeants de la Côte d’Ivoire à la libération à titre provisoire de plus d’une centaine de prisonniers de la crise postélectorale ainsi que le retour en masse des exilés militaires et civils, ont fini par convaincre les plus sceptiques sur la volonté et surtout l’engagement de premier citoyen ivoirien à forger une Côte d’Ivoire rassemblée autour des valeurs d’entente, d’harmonie, d’hospitalité, de respect de l’autre. En effet, le président de la République soucieux de redonner à la Côte d’Ivoire son lustre d’antan et estimant qu’aucun citoyen ne doit rester en bordure de route sur le chemin de la reconstruction et de l’émergence de la Côte d’Ivoire, ne cesse d’appeler au rassemblement et à l’unité de son peuple. «Je demande à tous les exilés ivoiriens de retourner au pays. La Côte d’Ivoire est au travail. La paix, la sécurité sont de retour. Chacun doit apporter sa pierre à l’édification d’une nation forte et respectueuse à travers le monde », ne manque-t-il pas de rappeler pour réaffirmer sa vision de la Côte d’Ivoire nouvelle. A l’intérieur comme à l’extérieur, Alassane Ouattara fait du retour de l’unité nationale et du consensus national son cheval de bataille. Et ses efforts en faveur de la décrispation politique, on peut le dire, sont récompensés avec ses milliers d’Ivoiriens, notamment des pontes de la refondation, qui ont regagné les bords de la lagune Ebrié et également le retour de l’ancien parti au pouvoir autour de la table de négociation. Le cadre permanent de dialogue (CPD) où le gouvernement et l’opposition se retrouvent pour débattre des grandes questions de la nation a, en outre, repris du service. Sous la houlette de l’ancien Premier ministre, Ahoussou Kouadio Jeannot, les lignes bougent concernant la plateforme de revendication des opposants ivoiriens. Dégel des comptes bancaires, libération des prisonniers, statut de l’opposition, etc. Tous ces sujets qui ont fait l’objet d’intenses discussions ont connu un début d’exécution. Ce travail, on le sait, sera sanctionné par l’organisation d’une élection présidentielle crédible, ouverte, transparente et apaisée en 2015. A l’orée de ces joutes qui doivent trancher avec celles du passé marquées par des violences inouïes, le chef de l’Etat cherche les voies et moyens pour faire de la course au fauteuil présidentiel, un moment de fête et non d’inquiétude, d’angoisse et de souffrance pour les Ivoiriens. C’est pourquoi, il a invité l’Institut national démocratique (NDI), reconnu dans le monde pour son expertise en matière de promotion de la démocratie, à mener des investigations en Côte d’Ivoire à l’effet de lui faire des recommandations. Samedi dernier, le rapport de cette étude a été rendu public, avec son cortège de recommandations pour éviter que le présent retombe dans les erreurs du passé. On le voit, le chef de l’Etat est infatigable dans son combat pour le redressement de son pays après plus d’une décennie de crise.
Lacina Ouattara
Comme dans tout pays qui a connu la guerre, les c?urs et les esprits sont remplis de questions. Des questions sur ce douloureux passé, mais aussi des questions sur le présent et sur l’avenir. Si nous sommes rassemblés aujourd’hui, c’est pour nous donner les moyens de trouver des réponses à ces questions. Nous le devons à nos concitoyens. Nous le devons à toutes les familles endeuillées, mais surtout aux générations futures. Mais notre plus grand chantier demeure celui de la reconstitution de la Nation ivoirienne. Nous devons travailler sans relâche au retour de la confiance entre toutes les filles et tous les fils de notre pays. La réconciliation doit être l’affaire de tous. Je lance donc un appel à tous mes compatriotes à, s’inscrire dans le processus», a invité le chef de l’Etat, le 28 septembre 2011, en marge de la cérémonie officielle d’installation de la Commission, dialogue, vérité et réconciliation à Yamoussoukro. Ceux des Ivoiriens qui ont pensé à des mots lancés en l’air et qui ont douté de leur sincérité, ont dû revoir leur copie face à la détermination du locataire du palais présidentiel du Plateau à chasser de la Côte d’Ivoire les démons de la haine et de la division. Le dégel des comptes des anciens dirigeants de la Côte d’Ivoire à la libération à titre provisoire de plus d’une centaine de prisonniers de la crise postélectorale ainsi que le retour en masse des exilés militaires et civils, ont fini par convaincre les plus sceptiques sur la volonté et surtout l’engagement de premier citoyen ivoirien à forger une Côte d’Ivoire rassemblée autour des valeurs d’entente, d’harmonie, d’hospitalité, de respect de l’autre. En effet, le président de la République soucieux de redonner à la Côte d’Ivoire son lustre d’antan et estimant qu’aucun citoyen ne doit rester en bordure de route sur le chemin de la reconstruction et de l’émergence de la Côte d’Ivoire, ne cesse d’appeler au rassemblement et à l’unité de son peuple. «Je demande à tous les exilés ivoiriens de retourner au pays. La Côte d’Ivoire est au travail. La paix, la sécurité sont de retour. Chacun doit apporter sa pierre à l’édification d’une nation forte et respectueuse à travers le monde », ne manque-t-il pas de rappeler pour réaffirmer sa vision de la Côte d’Ivoire nouvelle. A l’intérieur comme à l’extérieur, Alassane Ouattara fait du retour de l’unité nationale et du consensus national son cheval de bataille. Et ses efforts en faveur de la décrispation politique, on peut le dire, sont récompensés avec ses milliers d’Ivoiriens, notamment des pontes de la refondation, qui ont regagné les bords de la lagune Ebrié et également le retour de l’ancien parti au pouvoir autour de la table de négociation. Le cadre permanent de dialogue (CPD) où le gouvernement et l’opposition se retrouvent pour débattre des grandes questions de la nation a, en outre, repris du service. Sous la houlette de l’ancien Premier ministre, Ahoussou Kouadio Jeannot, les lignes bougent concernant la plateforme de revendication des opposants ivoiriens. Dégel des comptes bancaires, libération des prisonniers, statut de l’opposition, etc. Tous ces sujets qui ont fait l’objet d’intenses discussions ont connu un début d’exécution. Ce travail, on le sait, sera sanctionné par l’organisation d’une élection présidentielle crédible, ouverte, transparente et apaisée en 2015. A l’orée de ces joutes qui doivent trancher avec celles du passé marquées par des violences inouïes, le chef de l’Etat cherche les voies et moyens pour faire de la course au fauteuil présidentiel, un moment de fête et non d’inquiétude, d’angoisse et de souffrance pour les Ivoiriens. C’est pourquoi, il a invité l’Institut national démocratique (NDI), reconnu dans le monde pour son expertise en matière de promotion de la démocratie, à mener des investigations en Côte d’Ivoire à l’effet de lui faire des recommandations. Samedi dernier, le rapport de cette étude a été rendu public, avec son cortège de recommandations pour éviter que le présent retombe dans les erreurs du passé. On le voit, le chef de l’Etat est infatigable dans son combat pour le redressement de son pays après plus d’une décennie de crise.
Lacina Ouattara