Rentrée mercredi pour participer au gala de Children of Africa, Aïcha Koné a donné les raisons de ce retour
Quelle est la raison de votre présence aujourd’hui, à Abidjan ?
Je suis là pour ‘’Children of Africa’’, donc après je retourne. Je reviendrai certainement. Tout compte fait, je suis déjà présente, donc il n’y a pas à polémiquer sur le sujet.
Que faites-vous en Guinée ?
Je continue la musique que j’aime bien et je voyage aussi beaucoup. Après la Côte d’Ivoire, je pars pour la Guinée, ensuite au Sénégal et au Cap-Vert.
Quelles sont vos impressions depuis votre arrivée ?
Les retrouvailles avec la Côte d’Ivoire et la famille ont été fantastiques. Il y avait beaucoup d’émotions, il y a même des fans qui ont effectué le déplacement. Je remercie la Première dame qui m’a encouragée à surpasser certains faits et à prôner la réconciliation. C’est elle qui m’a invitée à revenir au pays et je pense apporter quelque chose à ‘’Children of Africa’’.
Aviez-vous des appréhensions, avant votre retour ?
Je n’avais pas peur de revenir parce que je crois en Dieu et je dis merci à Dominique Ouattara. Quel que soit ce que d’autres pourraient dire, c’est mon pays et celle qui m’a fait revenir au pays c’est la Première dame. Alors je dis merci à Dieu, merci à Dominique Ouattara et à mes fans. Je les aime, je pense toujours à eux. Il est vrai que je suis en Guinée et que je voyage beaucoup, mais on ne peut pas oublier les personnes qui vous ont témoigné leur affection et leur sincérité.
Quels sont vos rapports avec les pro-Gbagbo ?
Je garde mon affection pour l’ancien régime. Je suis présente en ce moment pour faire parler mon cœur. Il s’agit d’enfants, et moi-même étant mère, c’est l’affection, l’amour qui prime. Actuellement, nous parlons de réconciliation, mais cela n’a rien à voir avec mes rapports avec l’ancien régime. C’est un homme que j’ai admiré et que je continue d’admirer. Mais cela ne m’a pas empêchée de venir à l’invitation de madame Dominique Ouattara que je connais bien. Avant même qu’elle ne soit Première dame, je la fréquentais et elle m’a toujours témoigné une affection, une admiration pour le métier que je fais. Maintenant que mon calendrier m’a permis d’être présente, je suis là. C’est comme cela que nous devons voir les choses, respecter notre différence et voir comment procéder pour faire avancer le pays.
Comment se porte votre fils Tchaga ?
Mon fils se porte très bien. Il vit actuellement à Londres, en Angleterre, mais il est venu avec moi pour me soutenir.
Nesmon De Laure
Quelle est la raison de votre présence aujourd’hui, à Abidjan ?
Je suis là pour ‘’Children of Africa’’, donc après je retourne. Je reviendrai certainement. Tout compte fait, je suis déjà présente, donc il n’y a pas à polémiquer sur le sujet.
Que faites-vous en Guinée ?
Je continue la musique que j’aime bien et je voyage aussi beaucoup. Après la Côte d’Ivoire, je pars pour la Guinée, ensuite au Sénégal et au Cap-Vert.
Quelles sont vos impressions depuis votre arrivée ?
Les retrouvailles avec la Côte d’Ivoire et la famille ont été fantastiques. Il y avait beaucoup d’émotions, il y a même des fans qui ont effectué le déplacement. Je remercie la Première dame qui m’a encouragée à surpasser certains faits et à prôner la réconciliation. C’est elle qui m’a invitée à revenir au pays et je pense apporter quelque chose à ‘’Children of Africa’’.
Aviez-vous des appréhensions, avant votre retour ?
Je n’avais pas peur de revenir parce que je crois en Dieu et je dis merci à Dominique Ouattara. Quel que soit ce que d’autres pourraient dire, c’est mon pays et celle qui m’a fait revenir au pays c’est la Première dame. Alors je dis merci à Dieu, merci à Dominique Ouattara et à mes fans. Je les aime, je pense toujours à eux. Il est vrai que je suis en Guinée et que je voyage beaucoup, mais on ne peut pas oublier les personnes qui vous ont témoigné leur affection et leur sincérité.
Quels sont vos rapports avec les pro-Gbagbo ?
Je garde mon affection pour l’ancien régime. Je suis présente en ce moment pour faire parler mon cœur. Il s’agit d’enfants, et moi-même étant mère, c’est l’affection, l’amour qui prime. Actuellement, nous parlons de réconciliation, mais cela n’a rien à voir avec mes rapports avec l’ancien régime. C’est un homme que j’ai admiré et que je continue d’admirer. Mais cela ne m’a pas empêchée de venir à l’invitation de madame Dominique Ouattara que je connais bien. Avant même qu’elle ne soit Première dame, je la fréquentais et elle m’a toujours témoigné une affection, une admiration pour le métier que je fais. Maintenant que mon calendrier m’a permis d’être présente, je suis là. C’est comme cela que nous devons voir les choses, respecter notre différence et voir comment procéder pour faire avancer le pays.
Comment se porte votre fils Tchaga ?
Mon fils se porte très bien. Il vit actuellement à Londres, en Angleterre, mais il est venu avec moi pour me soutenir.
Nesmon De Laure