La question des primes de sélection et de qualification des Eléphants footballeurs de Côte d’Ivoire, pomme de « discorde » entre la Fédération ivoirienne de football (FIF) et le ministère de la Promotion de la jeunesse, des sports et loisirs, « solutionnée » par les deux institutions, a atterri sur la table du gouvernement pour « validation », a appris APA, mercredi, de source ministérielle.
Selon cette source, le « différend » entre l'instance fédérale et la tutelle « évacué», il ne reste plus que le «ok » du gouvernement, le « principal » sponsor actuel de le FIF pour connaître le montant des primes de sélection et de qualification des pachydermes ivoiriens.
A l'origine de cette « crise », la divergence de vue entre le ministère des sports et la fédération sur le « principe » des primes.
Alors que la tutelle veut rompre avec la « vieille » méthode qui consiste à verser de l'argent aux joueurs avant « la compétition » pour fixer des primes par « objectif », la fédération, elle, était « scotchée » à la tradition dans le milieu.
Celle qui consiste à faire décaisser par l'Etat « des primes » au bénéfice de chaque athlète avant l'expédition du Brésil. Pour la fédération, ça a été « toujours comme ça pour les campagnes précédentes du mondial en 2006 et 2010».
« Ce que les dirigeants fédéraux actuels oublient c'est que l'équipe de Jacques Anoma (ndlr : l'ex-président de la FIF) avait de gros sponsors et l'apport de l'Etat n'était qu'additionnel et donc la FIF d'alors pouvait se permettre des faveurs à l'endroit des joueurs. Ce qui est loin d'être le cas pour l'équipe actuelle », précise cette source.
Après de longues discussions, parfois, houleuses, les deux parties ont « accordé leur violon » dans l'intérêt général. Ainsi, reconnaissant la pertinence de la « révolution » du ministère de tutelle, les responsables fédéraux ont proposé qu'elle soit « différée » pour les campagnes post-Mondial 2014.
Ainsi, la FIF, selon d'autres indiscrétions, a fixé « les primes de sélection et de qualification à 50 millions FCFA pour chaque sélectionné et des primes d'objectif entre 2 et 3 millions FCFA par match gagné ».
Une information relayée par des sites d'information, mardi à la mi-journée, mais « loin d'être officielle » selon la même source ministérielle contactée par APA qui se veut « prudente » sur le montant.
« Ce que vous devriez retenir c'est que les deux parties sont d'accord sur un montant des primes mais le dernier mot reviendra au gouvernement. C'est lui qui délie la bourse. Il peut, selon la disponibilité des caisses de l'Etat, augmenter ou réduire le montant des primes. Donc il est hasardeux de communiquer un chiffre », conseille-t-elle.
La Côte d'Ivoire, logée dans le groupe C , débutera le Mondial 2014, le 14 juin face au Japon à Recife, avant d'affronter la Colombie le 19 juin à Brasilia puis la Grèce, le 24 juin à Fortaleza.
HS/ls/APA
Selon cette source, le « différend » entre l'instance fédérale et la tutelle « évacué», il ne reste plus que le «ok » du gouvernement, le « principal » sponsor actuel de le FIF pour connaître le montant des primes de sélection et de qualification des pachydermes ivoiriens.
A l'origine de cette « crise », la divergence de vue entre le ministère des sports et la fédération sur le « principe » des primes.
Alors que la tutelle veut rompre avec la « vieille » méthode qui consiste à verser de l'argent aux joueurs avant « la compétition » pour fixer des primes par « objectif », la fédération, elle, était « scotchée » à la tradition dans le milieu.
Celle qui consiste à faire décaisser par l'Etat « des primes » au bénéfice de chaque athlète avant l'expédition du Brésil. Pour la fédération, ça a été « toujours comme ça pour les campagnes précédentes du mondial en 2006 et 2010».
« Ce que les dirigeants fédéraux actuels oublient c'est que l'équipe de Jacques Anoma (ndlr : l'ex-président de la FIF) avait de gros sponsors et l'apport de l'Etat n'était qu'additionnel et donc la FIF d'alors pouvait se permettre des faveurs à l'endroit des joueurs. Ce qui est loin d'être le cas pour l'équipe actuelle », précise cette source.
Après de longues discussions, parfois, houleuses, les deux parties ont « accordé leur violon » dans l'intérêt général. Ainsi, reconnaissant la pertinence de la « révolution » du ministère de tutelle, les responsables fédéraux ont proposé qu'elle soit « différée » pour les campagnes post-Mondial 2014.
Ainsi, la FIF, selon d'autres indiscrétions, a fixé « les primes de sélection et de qualification à 50 millions FCFA pour chaque sélectionné et des primes d'objectif entre 2 et 3 millions FCFA par match gagné ».
Une information relayée par des sites d'information, mardi à la mi-journée, mais « loin d'être officielle » selon la même source ministérielle contactée par APA qui se veut « prudente » sur le montant.
« Ce que vous devriez retenir c'est que les deux parties sont d'accord sur un montant des primes mais le dernier mot reviendra au gouvernement. C'est lui qui délie la bourse. Il peut, selon la disponibilité des caisses de l'Etat, augmenter ou réduire le montant des primes. Donc il est hasardeux de communiquer un chiffre », conseille-t-elle.
La Côte d'Ivoire, logée dans le groupe C , débutera le Mondial 2014, le 14 juin face au Japon à Recife, avant d'affronter la Colombie le 19 juin à Brasilia puis la Grèce, le 24 juin à Fortaleza.
HS/ls/APA