Le Directeur général de l’Agence nationale d’appui au développement rural (Anader) Dr Sidiki Cissé, a engagé, vendredi, sa structure à appuyer la filière anacarde notamment par la formation aux bonnes pratiques agricoles des planteurs.
Cet engagement a été pris à travers la signature d'une convention cadre avec le fonds interprofessionnel pour la Recherche et le conseil agricole (Firca) et le Conseil du Coton et de l'Anacarde (Cca), initiateur de ladite convention.
Dans cet accord signé, l'Anader aura également en charge « la vulgarisation des variétés améliorées d'anacarde, l'identification des producteurs et des parcelles, l'élaboration des prévisions de récolte, le suivi des statistiques de production ».
Selon Dr Sidiki Cissé, « c'est un défi majeur pour l'Anader, et nous entendons jouer notre part pour que la filière anacarde puisse prospérer ».
Il a souligné dans la foulée que la problématique des « techniques de création de vergers, leur conduite, la qualité des produits marchands, reste une préoccupation partagée par nous tous ».
Eu égard à la «croissance fulgurante» de cette filière, Dr Cissé a soutenu qu'il y a véritablement nécessité «d'encadrement» des acteurs de ladite filière.
C'est pourquoi « l'Anader prendra toutes les dispositions nécessaires pour honorer cet engagement dans les délais » prescrits dans « chaque contrat spécifique » qui sera signé par la suite.
« Cette filière, en moins de 30 ans, est devenue une filière marchande » s'est réjoui le directeur général de l'ANADER.
Dans le cadre de la matérialisation de cette convention, une planification suivra, pour dégager les ressources nécessaires, les zones cibles, et les actions à mener pour un encadrement efficace des premiers acteurs de cette filière que représentent les paysans dont la plupart, vivent dans des conditions sociales défavorables.
L'amélioration de la production impactera assurément de façon positive les conditions de vie de ces planteurs.
L'anacarde dont l'arbre (l'anacardier) qui autrefois, était une essence d'arbre plantée dans les zones nord de la Côte d'Ivoire, pour freiner la désertification, est devenu, au fil des années, un réel produit avec une valeur marchande.
La Côte d'Ivoire est le premier producteur africain et deuxième producteur mondiale, avec une production annuelle de 500 mille tonnes de noix de cajou (anacarde) en 2013. La majorité de cette production nationale est exportée vers l'Inde et le Vietnam qui les décortiquent avant de les réexporter sous forme d'amendes blanches ou grillées.
JBK/ls/APA
Cet engagement a été pris à travers la signature d'une convention cadre avec le fonds interprofessionnel pour la Recherche et le conseil agricole (Firca) et le Conseil du Coton et de l'Anacarde (Cca), initiateur de ladite convention.
Dans cet accord signé, l'Anader aura également en charge « la vulgarisation des variétés améliorées d'anacarde, l'identification des producteurs et des parcelles, l'élaboration des prévisions de récolte, le suivi des statistiques de production ».
Selon Dr Sidiki Cissé, « c'est un défi majeur pour l'Anader, et nous entendons jouer notre part pour que la filière anacarde puisse prospérer ».
Il a souligné dans la foulée que la problématique des « techniques de création de vergers, leur conduite, la qualité des produits marchands, reste une préoccupation partagée par nous tous ».
Eu égard à la «croissance fulgurante» de cette filière, Dr Cissé a soutenu qu'il y a véritablement nécessité «d'encadrement» des acteurs de ladite filière.
C'est pourquoi « l'Anader prendra toutes les dispositions nécessaires pour honorer cet engagement dans les délais » prescrits dans « chaque contrat spécifique » qui sera signé par la suite.
« Cette filière, en moins de 30 ans, est devenue une filière marchande » s'est réjoui le directeur général de l'ANADER.
Dans le cadre de la matérialisation de cette convention, une planification suivra, pour dégager les ressources nécessaires, les zones cibles, et les actions à mener pour un encadrement efficace des premiers acteurs de cette filière que représentent les paysans dont la plupart, vivent dans des conditions sociales défavorables.
L'amélioration de la production impactera assurément de façon positive les conditions de vie de ces planteurs.
L'anacarde dont l'arbre (l'anacardier) qui autrefois, était une essence d'arbre plantée dans les zones nord de la Côte d'Ivoire, pour freiner la désertification, est devenu, au fil des années, un réel produit avec une valeur marchande.
La Côte d'Ivoire est le premier producteur africain et deuxième producteur mondiale, avec une production annuelle de 500 mille tonnes de noix de cajou (anacarde) en 2013. La majorité de cette production nationale est exportée vers l'Inde et le Vietnam qui les décortiquent avant de les réexporter sous forme d'amendes blanches ou grillées.
JBK/ls/APA