Comme vous avez pu en être témoin, mon épouse et moi venons de nous faire recenser au titre du 4e Recensement Général de la Population et de l’Habitat.
Je voudrais inviter mes compatriotes à faire comme moi et à réserver un accueil chaleureux aux agents recenseurs qui se rendront chez eux, dans leurs villes, leurs villages, leurs campements, leurs hameaux. Acceptons de les recevoir, soyons courtois envers eux et répondons à leurs questions en toute simplicité.
En effet, ces agents recenseurs, qui viennent vers nous, ne sont pas là pour nous compter uniquement. Grâce aux questions qu’ils nous posent et aux réponses que nous leur donnons, nous participons, à notre manière, à la bonne gestion des affaires publiques en fournissant à l’Etat de précieuses données démographiques, sociales et économiques.
Ces données permettront au Chef de l’Etat et au Gouvernement de consolider le plan national de développement. Grâce à ce recensement, nous connaîtrons la taille de notre population, sa structure, son niveau de vie, son mode d’habitat, son revenu moyen, son niveau d’instruction, ses mouvements migratoires, le niveau des infrastructures etc.
Ainsi sur des bases scientifiques, le Gouvernement saura le nombre d’écoles à construire chaque année, le nombre d’hôpitaux, le nombre de villages à électrifier, le nombre de villages qui ont besoin d’adduction en eau potable etc.
Ce recensement fournira donc des résultats précieux pour la prise de décision, et il nous servira de base à nous, législateurs, pour le suivi des objectifs de développement que s’est fixé le Gouvernement.
En ma qualité de Président de l’Assemblée nationale, j’invite chaque député à se rendre dans sa localité pour sensibiliser nos parents sur l’importance capitale de cette opération et sur la nécessité de se faire recenser afin que, de manière scientifique le Gouvernement ait une claire vision de la situation du pays et apporte des réponses concrètes, à long terme, aux défis que nous pose notre ambition de devenir un pays émergent à l’horizon 2020.
Guillaume Kigbafori SORO
Je voudrais inviter mes compatriotes à faire comme moi et à réserver un accueil chaleureux aux agents recenseurs qui se rendront chez eux, dans leurs villes, leurs villages, leurs campements, leurs hameaux. Acceptons de les recevoir, soyons courtois envers eux et répondons à leurs questions en toute simplicité.
En effet, ces agents recenseurs, qui viennent vers nous, ne sont pas là pour nous compter uniquement. Grâce aux questions qu’ils nous posent et aux réponses que nous leur donnons, nous participons, à notre manière, à la bonne gestion des affaires publiques en fournissant à l’Etat de précieuses données démographiques, sociales et économiques.
Ces données permettront au Chef de l’Etat et au Gouvernement de consolider le plan national de développement. Grâce à ce recensement, nous connaîtrons la taille de notre population, sa structure, son niveau de vie, son mode d’habitat, son revenu moyen, son niveau d’instruction, ses mouvements migratoires, le niveau des infrastructures etc.
Ainsi sur des bases scientifiques, le Gouvernement saura le nombre d’écoles à construire chaque année, le nombre d’hôpitaux, le nombre de villages à électrifier, le nombre de villages qui ont besoin d’adduction en eau potable etc.
Ce recensement fournira donc des résultats précieux pour la prise de décision, et il nous servira de base à nous, législateurs, pour le suivi des objectifs de développement que s’est fixé le Gouvernement.
En ma qualité de Président de l’Assemblée nationale, j’invite chaque député à se rendre dans sa localité pour sensibiliser nos parents sur l’importance capitale de cette opération et sur la nécessité de se faire recenser afin que, de manière scientifique le Gouvernement ait une claire vision de la situation du pays et apporte des réponses concrètes, à long terme, aux défis que nous pose notre ambition de devenir un pays émergent à l’horizon 2020.
Guillaume Kigbafori SORO
