Il sait désormais faire la différence entre les manipulations politiciennes et ses intérêts. En effet, le peuple mature de Côte d’Ivoire, c’est de lui qu’il s’agit, n’entend plus prêter une oreille attentive aux tromperies et autres mensonges du Front populaire ivoirien (FPI) et de son président, Pascal Affi N’guessan. Ainsi, les populations ivoiriennes, y compris les militants de l’ancien parti au pouvoir, sont prêtes à administrer ‘’une gifle’’ à l’ancien Premier ministre, qui a invité à un boycott de l’opération de recensement général de la population et de l’habitat. Car, l’engouement autour de ce 4ème recensement général lancé officiellement par l’Etat de Côte d’Ivoire le 17 mars dernier, est réel. Partout dans le pays, les habitants des villes, des villages et des hameaux sont mobilisés pour emboiter le pas au premier des Ivoiriens, le président de la République, Alassane Ouattara, au président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro, au ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko, à la Grande chancelière, Henriette Dagri Diabaté… qui se sont fait déjà enregistrer par les agents recenseurs. Le constat était, en outre, net quand le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, Albert Mabri Toikeusse, s’est rendu du 20 au 24 mars dernier, sur le terrain pour expliquer aux uns et aux autres les avantages d’une telle opération pour l’Etat mais également pour les collectivités locales et donc pour les populations. «Cette opération n’a rien de politique. Depuis 1998, la Côte d’Ivoire n’a plus fait de recensement de sa population. Ce qui fait qu’aujourd’hui nous travaillons avec des chiffres approximatifs. Ceci n’est pas digne de notre pays. Pour bien planifier ses actions afin de mieux servir les populations en termes d’adduction d’eau, de constructions d’écoles, de centre de santé, d’électrification, l’Etat a décidé de compter les habitants. C’est une question de développement et non de politique. Ceux qui vous disent de boycotter le recensement vous trompent et sont contre votre bien-être», n’a cessé de répéter le ministre d’Etat d’Abengourou à Guiglo en passant par Man, San-Pedro, Daloa…
Un message reçu cinq sur cinq par les autorités administratives, politiques, coutumières, religieuses et l’ensemble des populations. En effet, partout où la délégation de l’envoyé du gouvernement ivoirien est passée, les populations sont sorties massivement pour écouter son message et se sont surtout engagées à faire en sorte que l’opération connaisse un franc succès à terme. Ils ont marqué leur adhésion totale et pleine à l’opération, dont les chiffres qui seront récoltés permettront par leur crédibilité au gouvernement de s’appuyer sur des indicateurs et statistiques fiables en vue de la planification des investissements. En tous cas, le président de l’Union démocratique et citoyenne (UDCY), Théodore Mel Eg est d’avis avec tous ceux qui accordent un intérêt à l’initiative de l’Etat. «Je suis contre le boycott du recensement de la population.
Le ministre d’Etat Albert Toikeusse Mabri a raison (....) Je ne peux pas me permettre de ne pas exister. Il serait aberrant que vous ne soyez pas recensés », a-t-il estimé. Avant d’inviter les militants des partis de l’opposition à prendre part au recensement. On le voit, au sein même de l’opposition, le mot d’ordre du FPI est fortement mis à rude épreuve. Signe que le parti bleu, qui a tant abusé des Ivoiriens, n’est plus écouté. De toute évidence, le peuple de Côte d’Ivoire s’apprête à laisser un message clair aux frontistes : le temps de la politique politicienne est révolu en Côte d’Ivoire. Désormais, les actes concrets de développement posés par le gouvernement du président de la République, Alassane Ouattara, priment sur les mots d’ordres et les manipulations visant à tirer le pays vers le bas et a retarder son redécollage après la crise qu’il a connue.
Lacina Ouattara
Un message reçu cinq sur cinq par les autorités administratives, politiques, coutumières, religieuses et l’ensemble des populations. En effet, partout où la délégation de l’envoyé du gouvernement ivoirien est passée, les populations sont sorties massivement pour écouter son message et se sont surtout engagées à faire en sorte que l’opération connaisse un franc succès à terme. Ils ont marqué leur adhésion totale et pleine à l’opération, dont les chiffres qui seront récoltés permettront par leur crédibilité au gouvernement de s’appuyer sur des indicateurs et statistiques fiables en vue de la planification des investissements. En tous cas, le président de l’Union démocratique et citoyenne (UDCY), Théodore Mel Eg est d’avis avec tous ceux qui accordent un intérêt à l’initiative de l’Etat. «Je suis contre le boycott du recensement de la population.
Le ministre d’Etat Albert Toikeusse Mabri a raison (....) Je ne peux pas me permettre de ne pas exister. Il serait aberrant que vous ne soyez pas recensés », a-t-il estimé. Avant d’inviter les militants des partis de l’opposition à prendre part au recensement. On le voit, au sein même de l’opposition, le mot d’ordre du FPI est fortement mis à rude épreuve. Signe que le parti bleu, qui a tant abusé des Ivoiriens, n’est plus écouté. De toute évidence, le peuple de Côte d’Ivoire s’apprête à laisser un message clair aux frontistes : le temps de la politique politicienne est révolu en Côte d’Ivoire. Désormais, les actes concrets de développement posés par le gouvernement du président de la République, Alassane Ouattara, priment sur les mots d’ordres et les manipulations visant à tirer le pays vers le bas et a retarder son redécollage après la crise qu’il a connue.
Lacina Ouattara
