Nouveau gouvernement, ou gouvernement remanié ? Il vaut mieux apprécier l’appellation unilatérale de gouvernement ‘’remanié’’. Le nouveau Premier ministre Manuel Valls n’a rien changé du gouvernement de l’ancien Premier ministre Jean-Marc Ayraut. Autour de Manuel Valls, on a produit beaucoup de bruit pour rien. Quand on observe le ‘’nouveau gouvernement remanié’’ le symbole socialiste est présent à tous les étages du gouvernement Valls. Laurent Fabius garde le ministère des Affaires Etrangères.
Christiane Taubira reste ministre de la Justice et Garde des Sceaux. Le ministère de la Défense reste géré par Jean-Yves Le Drian puis arrive Segolène Royal au Développement durable et l’Energie. Dans ce cas le ‘’gouvernement Français remanié’’ n’apporte pas beaucoup de satisfactions à l’opinion Française, au moment où la France ‘’connaît un taux de chômage et a besoin d’un remède de cheval’’. Manuel Valls prend les mêmes et recommence. Déjà, la reconduction du ministre Christiane Taubira entraîne des profits beaucoup plus faibles dans l’audience du Président François Hollande. Christiane Taubira avait apporté deux lots de mécontentement dans l’opinion française dont le ‘’mariage pour tous’’ et ‘’l’écoute téléphonique’’ chez Nicolas Sarkozy. Une chose est passée particulièrement inaperçue : c’est le ‘’match’’ idéologique entre Manuel Valls et le président François Hollande. Manuel Valls est à gauche et reste libéral. Et cette force politique du Premier ministre peut gêner le socialisme pur et dur du Président François Hollande. Rien n’a changé. Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve, ami de François Hollande, a été préféré à un cadre de la ‘’ gauche-gauche’’ de Manuel Valls. Déjà, ce ‘’combat souterrain’’ va freiner la compétitivité de l’équipe gouvernementale. En réalité, le resserrement de l’équipe Valls, n’est pas forcément l’appréciation des Français. Dans le contexte actuel, il faut ‘’écraser’’ la masse actuelle du chômage. Cela signifie aussi, qu’il faut orienter les entreprises françaises, vers le social économique. Le gouvernement de Manuel Valls n’est pas facile à comprendre : surtout qu’on lui assigne le symbole ‘’ de gouvernement de combat’’. Une appréciation provoquée par François Hollande lui-même. Au vu de la situation actuelle en France, cet objectif ne pourra réduire la souffrance de la classe moyenne française. On prend les mêmes… et on recommence.
Ben Ismaël
Christiane Taubira reste ministre de la Justice et Garde des Sceaux. Le ministère de la Défense reste géré par Jean-Yves Le Drian puis arrive Segolène Royal au Développement durable et l’Energie. Dans ce cas le ‘’gouvernement Français remanié’’ n’apporte pas beaucoup de satisfactions à l’opinion Française, au moment où la France ‘’connaît un taux de chômage et a besoin d’un remède de cheval’’. Manuel Valls prend les mêmes et recommence. Déjà, la reconduction du ministre Christiane Taubira entraîne des profits beaucoup plus faibles dans l’audience du Président François Hollande. Christiane Taubira avait apporté deux lots de mécontentement dans l’opinion française dont le ‘’mariage pour tous’’ et ‘’l’écoute téléphonique’’ chez Nicolas Sarkozy. Une chose est passée particulièrement inaperçue : c’est le ‘’match’’ idéologique entre Manuel Valls et le président François Hollande. Manuel Valls est à gauche et reste libéral. Et cette force politique du Premier ministre peut gêner le socialisme pur et dur du Président François Hollande. Rien n’a changé. Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve, ami de François Hollande, a été préféré à un cadre de la ‘’ gauche-gauche’’ de Manuel Valls. Déjà, ce ‘’combat souterrain’’ va freiner la compétitivité de l’équipe gouvernementale. En réalité, le resserrement de l’équipe Valls, n’est pas forcément l’appréciation des Français. Dans le contexte actuel, il faut ‘’écraser’’ la masse actuelle du chômage. Cela signifie aussi, qu’il faut orienter les entreprises françaises, vers le social économique. Le gouvernement de Manuel Valls n’est pas facile à comprendre : surtout qu’on lui assigne le symbole ‘’ de gouvernement de combat’’. Une appréciation provoquée par François Hollande lui-même. Au vu de la situation actuelle en France, cet objectif ne pourra réduire la souffrance de la classe moyenne française. On prend les mêmes… et on recommence.
Ben Ismaël