Bondoukou - Konaté Siriki, 22 ans, élève en classe de terminale A au lycée moderne 1 de Bondoukou, a été tué à coups de poignard par un malade mental, dans la matinée de mercredi, au quartier Camp militaire de la localité, a appris l’AIP vendredi, de source sécuritaire.
Le jeune Siriki s’apprêtait ce jour à aller à l’école lorsque son demi-frère Bakary, un malade mental qui vit avec lui dans la même concession familiale, s’est brusquement jeté sur lui, lui assénant à plusieurs endroits du corps, de violents coups de couteau.
Siriki s’écroule et succombe quelque temps après à ses blessures.
A l’issue de cet acte, l'aliéné mental arrache le téléphone portable de leur mère qu’il conduit, sous la menace de son arme blanche, dans une broussaille où il la tient en otage pendant des heures.
Elle n’a eu la vie sauve que grâce au commissaire de police et à ses hommes qui l’ont libérée dans la nuit, aux environs de 21 heures, des mains de cet ancien pensionnaire de l’Hôpital Saint Camille de Bondoukou, un centre psychiatrique.
Maitrisé par les policiers, le malade mental a été gardé à vue cette même nuit au commissariat de police, et reconduit le jeudi matin à Saint Camille.
(AIP)
Ns/kkp/tm
Le jeune Siriki s’apprêtait ce jour à aller à l’école lorsque son demi-frère Bakary, un malade mental qui vit avec lui dans la même concession familiale, s’est brusquement jeté sur lui, lui assénant à plusieurs endroits du corps, de violents coups de couteau.
Siriki s’écroule et succombe quelque temps après à ses blessures.
A l’issue de cet acte, l'aliéné mental arrache le téléphone portable de leur mère qu’il conduit, sous la menace de son arme blanche, dans une broussaille où il la tient en otage pendant des heures.
Elle n’a eu la vie sauve que grâce au commissaire de police et à ses hommes qui l’ont libérée dans la nuit, aux environs de 21 heures, des mains de cet ancien pensionnaire de l’Hôpital Saint Camille de Bondoukou, un centre psychiatrique.
Maitrisé par les policiers, le malade mental a été gardé à vue cette même nuit au commissariat de police, et reconduit le jeudi matin à Saint Camille.
(AIP)
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