Daloa - Le juge d’instruction au 1er cabinet d’instruction du tribunal de première instance de Daloa, Kouamé Guy Patrick, a exhorté jeudi, des étudiants de l’Université Jean Lorougnon Guédé de Daloa (UJLOG) à s’éloigner de la violence et à rechercher la quête de l’excellence dans le travail, afin de s’assurer pour le futur, une place dans la société.
Le magistrat qui donnait une conférence sur "l’importance des Droits de l’homme et la non-violence en milieu estudiantin", à la demande de la fédération estudiantine des droits de l’homme de Côte d’Ivoire (FEDH-CI), a précisé que la violence ne résout aucun problème.
Ayant fait le constat de ce que depuis 1990, la vie universitaire a rimé avec la viloence, il a expliqué, "le temps est venu pour les étudiants ivoiriens de revêtir de nouveaux habits en ce qui concerne leur état d’esprit et leurs comportements, dans la mesure où le pays est entrain de repartir sur de nouvelles bases, notamment vers l’émergence en matière de développement".
Insistant donc sur l’importance de l’éducation aux droits de l’homme, lequel inclut entre autres, le respect de soi-même, le respect des autres, le respect de la chose publique, des opinions personnelles et des sensibilités politiques des autres etc. le conférencier a demandé plutôt à l’auditoire "d’en faire le sous-bassement d’un état de pensée, de dire, et d’être qui va donner à l’étudiant d’aujourd’hui, mais dirigeant de demain, de retrouver sa dignité, afin d’agir comme un bon citoyen".
Au final, il a estimé que la "violence" qu’on peut leur recommander est plutôt la "qualité de leurs travaux, la qualité de leurs argumentations, de leurs réflexions par rapport à leurs études et à leur culture, et non la violence physique qui détruit".
(AIP)
yy/ask
Le magistrat qui donnait une conférence sur "l’importance des Droits de l’homme et la non-violence en milieu estudiantin", à la demande de la fédération estudiantine des droits de l’homme de Côte d’Ivoire (FEDH-CI), a précisé que la violence ne résout aucun problème.
Ayant fait le constat de ce que depuis 1990, la vie universitaire a rimé avec la viloence, il a expliqué, "le temps est venu pour les étudiants ivoiriens de revêtir de nouveaux habits en ce qui concerne leur état d’esprit et leurs comportements, dans la mesure où le pays est entrain de repartir sur de nouvelles bases, notamment vers l’émergence en matière de développement".
Insistant donc sur l’importance de l’éducation aux droits de l’homme, lequel inclut entre autres, le respect de soi-même, le respect des autres, le respect de la chose publique, des opinions personnelles et des sensibilités politiques des autres etc. le conférencier a demandé plutôt à l’auditoire "d’en faire le sous-bassement d’un état de pensée, de dire, et d’être qui va donner à l’étudiant d’aujourd’hui, mais dirigeant de demain, de retrouver sa dignité, afin d’agir comme un bon citoyen".
Au final, il a estimé que la "violence" qu’on peut leur recommander est plutôt la "qualité de leurs travaux, la qualité de leurs argumentations, de leurs réflexions par rapport à leurs études et à leur culture, et non la violence physique qui détruit".
(AIP)
yy/ask