Le ministre Ahoua N’Doli Théophile, directeur de cabinet du Premier ministre, est le père du dernier recensement général intervenu en Côte d’Ivoire, en 1998. A cette époque, il était ministre du Plan, du Président Henri Konan Bédié. C’est à ce titre, que le Directeur général de l’INS, Ibrahima, Ba, en personne, s’est rendu à son domicile le samedi dernier, en vue de superviser son recensement par les agents recenseurs. A l’issue de son enrôlement, il a confié ses sentiments à la presse présente.
« Je crois que c’est une opération très utile parce que le directeur général de l’Ins qui est à mes côtés le répète depuis plusieurs jours, plusieurs semaines même. On ne peut pas planifier le développement dans un pays, sans qu’on sache quels sont les habitants qui sont dans ce pays. C’est à partir du nombre d’habitants qu’on programme un certain nombre de choses. Comment peut-on programmer l’électrification dans un village, si on ne sait pas combien de personnes se trouvent dans ce village, surtout qu’il y a des priorités. A partir du moment où on a une idée précise du nombre d’habitants dans une localité, on peut par exemple, décider de commencer l’électrification sur le critère du nombre, à savoir commencer par le village le plus peuplé pour arriver au village le moins peuplé. Ce recensement, je l’ai toujours dit, est une opération purement statistique. Celui qui veut faire croire du contraire, est soit, un ignorant, soit il est de mauvaise foi. Ce n’est ni une opération politique, encore moins une opération électorale.
J’invite donc toute la population à se faire recenser dans l’intérêt de la Côte d’ Ivoire, et surtout pour le développement de notre cher pays.
Le Dg de l’Ins a dit tout à l’heure que le dernier recensement date de 16 ans. Trouvez-vous normal que la Côte d’Ivoire, un pays aussi moderne attende 16 ans encore pour connaître le nombre de sa population ? Ce que vous devez aussi savoir, c’est que nous sommes partie à des accords avec le monde entier qui instituent que chaque 10 ans, les pays doivent pouvoir connaître le nombre de leur population. J’ai eu la chance, il y a 16 ans, d’être ministre du Plan, et d’avoir conduit le dernier recensement. Et je suis bien placé pour savoir que c’est une opération extrêmement importante parce qu’on ne peut pas faire de prévision, de projection, ou de prospective, si on n’a pas de statistique. Un pays sans statistique en terme de recensement général de la population et de l’habita, est comme un véhicule sans tableau de bord. Imaginez les conséquences », a-t-il conclu.
« Je crois que c’est une opération très utile parce que le directeur général de l’Ins qui est à mes côtés le répète depuis plusieurs jours, plusieurs semaines même. On ne peut pas planifier le développement dans un pays, sans qu’on sache quels sont les habitants qui sont dans ce pays. C’est à partir du nombre d’habitants qu’on programme un certain nombre de choses. Comment peut-on programmer l’électrification dans un village, si on ne sait pas combien de personnes se trouvent dans ce village, surtout qu’il y a des priorités. A partir du moment où on a une idée précise du nombre d’habitants dans une localité, on peut par exemple, décider de commencer l’électrification sur le critère du nombre, à savoir commencer par le village le plus peuplé pour arriver au village le moins peuplé. Ce recensement, je l’ai toujours dit, est une opération purement statistique. Celui qui veut faire croire du contraire, est soit, un ignorant, soit il est de mauvaise foi. Ce n’est ni une opération politique, encore moins une opération électorale.
J’invite donc toute la population à se faire recenser dans l’intérêt de la Côte d’ Ivoire, et surtout pour le développement de notre cher pays.
Le Dg de l’Ins a dit tout à l’heure que le dernier recensement date de 16 ans. Trouvez-vous normal que la Côte d’Ivoire, un pays aussi moderne attende 16 ans encore pour connaître le nombre de sa population ? Ce que vous devez aussi savoir, c’est que nous sommes partie à des accords avec le monde entier qui instituent que chaque 10 ans, les pays doivent pouvoir connaître le nombre de leur population. J’ai eu la chance, il y a 16 ans, d’être ministre du Plan, et d’avoir conduit le dernier recensement. Et je suis bien placé pour savoir que c’est une opération extrêmement importante parce qu’on ne peut pas faire de prévision, de projection, ou de prospective, si on n’a pas de statistique. Un pays sans statistique en terme de recensement général de la population et de l’habita, est comme un véhicule sans tableau de bord. Imaginez les conséquences », a-t-il conclu.