Le Ministre d’Etat, Ministre du Plan et du Développement a visité ce week-end les départements de Zoukougbeu puis de Duekoué. Au cours de cette tournée de supervision du recensement, le Dr Albert Toikeusse MABRI s’est enquis du déroulement de l’opération sur le terrain. Le Président du Comité National du 4ème RGPH a pu toucher du doigt les difficultés auxquelles sont confrontés les agents recenseurs sur le terrain. Elles se résument entre autre à des questions de mobilité et à l’éloignement des ménages dans certaines zones de dénombrement. Au niveau de Duekoué par exemple, le Préfet a révélé qu’une seule moto est disponible pour tout le département. A l’issue des rencontres qu’il a eu avec les différents comités locaux du RGPH le Dr Albert Toikeusse MABRI a dit prendre bonne note des difficultés auxquelles ils sont confrontés. Il leur a demandé de tout mettre en œuvre pour relever le défi et d’accentuer la sensibilisation.
Face aux populations, le Ministre d’Etat, Ministre du Plan et du Développement a expliqué la problématique du RGPH. «Sur quel critère l’Etat va s’appuyer pour vous construire un lycée, des centres de santé ou des châteaux d’eau ? Et bien c’est sur la base des chiffres issus de ce recensement, car c’est en fonction de la taille de votre population, qu’on apporter des réponses à vos préoccupations » a-t-il indiqué. Le Dr Albert Toikeusse MABRI leur a rappelé que le recensement de la population n’est pas un fait nouveau en Côte d’Ivoire. « Le premier recensement de la population dans notre pays a eu lieu en 1975. Le dernier date de 1998. En principe, il (Ndlr: RGPH) doit se tenir tous les 10ans. Mais compte tenu de la situation dans laquelle notre pays se trouvait, il n’a pu avoir lieu en 2008(…) Il ne s’agit pas de savoir qui va voter. Il est question de développement. Même les nouveau-nés et les non ivoiriens doivent se faire recenser. C’est dans votre intérêt. Si vous refusez de vous faire recenser, vous risquez de le regretter plus tard. Parce que les chiffres que nous auront obtenus ne vont pas refléter la réalité et donc vous serez lésés lorsqu’il va s’agir de construire une école, un dispensaire, ou un château d’eau » a martelé le Ministre ivoirien du Plan.
Face aux populations, le Ministre d’Etat, Ministre du Plan et du Développement a expliqué la problématique du RGPH. «Sur quel critère l’Etat va s’appuyer pour vous construire un lycée, des centres de santé ou des châteaux d’eau ? Et bien c’est sur la base des chiffres issus de ce recensement, car c’est en fonction de la taille de votre population, qu’on apporter des réponses à vos préoccupations » a-t-il indiqué. Le Dr Albert Toikeusse MABRI leur a rappelé que le recensement de la population n’est pas un fait nouveau en Côte d’Ivoire. « Le premier recensement de la population dans notre pays a eu lieu en 1975. Le dernier date de 1998. En principe, il (Ndlr: RGPH) doit se tenir tous les 10ans. Mais compte tenu de la situation dans laquelle notre pays se trouvait, il n’a pu avoir lieu en 2008(…) Il ne s’agit pas de savoir qui va voter. Il est question de développement. Même les nouveau-nés et les non ivoiriens doivent se faire recenser. C’est dans votre intérêt. Si vous refusez de vous faire recenser, vous risquez de le regretter plus tard. Parce que les chiffres que nous auront obtenus ne vont pas refléter la réalité et donc vous serez lésés lorsqu’il va s’agir de construire une école, un dispensaire, ou un château d’eau » a martelé le Ministre ivoirien du Plan.