Elue miss, dans la nuit du 25 au 26 avril 2014, de la 34 édition du Popo carnaval de Bonoua, Djédj Rose-Stéphanie, était face à 12 autres candidates. Agée de 18 ans et en classe de terminale A2, elle a bien voulu répondre à nos questions au lendemain de son sacre.
Quelles sont vos premières réactions après votre élection?
Je suis très ravie. Toutes les 13 candidates étaient toutes belles, la tâche n’était vraiment pas aisée pour les membres du Jury.
Vous vous attendiez objectivement à remporter ce concours ?
Oui ! Je me suis présentée à ce concours de beauté, avec la ferme conviction de le remporter. Il y avait de très belles filles à ce rendez-vous, mais j’avais confiance en moi. Je savais que je pouvais être élue miss popo carnaval 2014, les mêmes sentiments prévalaient aussi chez mes concurrentes qui avaient également confiance en elles.
Quelle action comptez-vous mener après votre élection ?
Avant de répondre à votre préoccupation, je voudrais tout simplement encourager les jeunes filles à participer à ce genre d’évènement. Et aussi montrer qu’être élue miss n’est pas une finalité. A ce sujet, il faut que je reste moi-même, tout en évitant d’avoir la grosse tête. Pour ce qui concerne les actions, j’attends poser celles qui contribuent aux actions sociales en faveur des enfants. Car, en partenariat avec le comité d’organisation du popo carnaval, nous avons décidé de venir en aide aux enfants de la rue. Il est donc souhaitable qu’un refuge, ou un lieu d’hébergement soit mis en place, pour leur venir en aide. C’est vraiment un message fort que j’aimerais lancer à travers notre causerie car pour moi, ces enfants de la rue sont beaucoup livrés à eux-mêmes, sans assistance, de la part des nos autorités.
Votre élection, faut-il l’avouer, a été sujette à controverses de la part d’une partie du jury qui avait plutôt opté pour la candidate N° 5. Qu’en pensez-vous ?
Vous savez, l’appréciation en matière de beauté est une chose relative. Donc je partage pleinement ce sentiment du public, mais comme je l’ai dit, la tâche des membres du jury n’était pas facile. Toutefois, leur décision finale a été de me couronner Miss popo carnaval et je crois qu’il faut aussi respecter ce choix.
Que comptez-vous faire plus tard dans la vie ?
Ma priorité première, c’est d’avoir le baccalauréat cette année. Après, je compte me présenter au concours de beauté de l’Université et si possible, à celui de Miss Côte d’ivoire. Mais au plan professionnel, j’ambitionne emprunter le chemin de la profession de journaliste.
‘’L’intégration et le brassage culturel’’ a été le thème central de cette 34ème édition du popo carnaval de Bonoua. Quel sens donnez-vous à ce thème ?
Je suis un exemple typique de cette intégration. Je suis d’ethnie Adjoukro, mais quand je suis arrivée à Bonoua, j’ai été bien accueillie par les Abouré. Je voudrais aussi dire merci à tous ceux qui, sont venus me soutenir et aussi, lancer un appel aux autres concurrentes. Je leur demande de ne pas se décourager, d’avoir toujours confiance en elles, car un jour, la chance leur sourira.
Claude D.
Quelles sont vos premières réactions après votre élection?
Je suis très ravie. Toutes les 13 candidates étaient toutes belles, la tâche n’était vraiment pas aisée pour les membres du Jury.
Vous vous attendiez objectivement à remporter ce concours ?
Oui ! Je me suis présentée à ce concours de beauté, avec la ferme conviction de le remporter. Il y avait de très belles filles à ce rendez-vous, mais j’avais confiance en moi. Je savais que je pouvais être élue miss popo carnaval 2014, les mêmes sentiments prévalaient aussi chez mes concurrentes qui avaient également confiance en elles.
Quelle action comptez-vous mener après votre élection ?
Avant de répondre à votre préoccupation, je voudrais tout simplement encourager les jeunes filles à participer à ce genre d’évènement. Et aussi montrer qu’être élue miss n’est pas une finalité. A ce sujet, il faut que je reste moi-même, tout en évitant d’avoir la grosse tête. Pour ce qui concerne les actions, j’attends poser celles qui contribuent aux actions sociales en faveur des enfants. Car, en partenariat avec le comité d’organisation du popo carnaval, nous avons décidé de venir en aide aux enfants de la rue. Il est donc souhaitable qu’un refuge, ou un lieu d’hébergement soit mis en place, pour leur venir en aide. C’est vraiment un message fort que j’aimerais lancer à travers notre causerie car pour moi, ces enfants de la rue sont beaucoup livrés à eux-mêmes, sans assistance, de la part des nos autorités.
Votre élection, faut-il l’avouer, a été sujette à controverses de la part d’une partie du jury qui avait plutôt opté pour la candidate N° 5. Qu’en pensez-vous ?
Vous savez, l’appréciation en matière de beauté est une chose relative. Donc je partage pleinement ce sentiment du public, mais comme je l’ai dit, la tâche des membres du jury n’était pas facile. Toutefois, leur décision finale a été de me couronner Miss popo carnaval et je crois qu’il faut aussi respecter ce choix.
Que comptez-vous faire plus tard dans la vie ?
Ma priorité première, c’est d’avoir le baccalauréat cette année. Après, je compte me présenter au concours de beauté de l’Université et si possible, à celui de Miss Côte d’ivoire. Mais au plan professionnel, j’ambitionne emprunter le chemin de la profession de journaliste.
‘’L’intégration et le brassage culturel’’ a été le thème central de cette 34ème édition du popo carnaval de Bonoua. Quel sens donnez-vous à ce thème ?
Je suis un exemple typique de cette intégration. Je suis d’ethnie Adjoukro, mais quand je suis arrivée à Bonoua, j’ai été bien accueillie par les Abouré. Je voudrais aussi dire merci à tous ceux qui, sont venus me soutenir et aussi, lancer un appel aux autres concurrentes. Je leur demande de ne pas se décourager, d’avoir toujours confiance en elles, car un jour, la chance leur sourira.
Claude D.
