La Vice-présidente de l’Assemblée nationale, Célestine Trazéré Olibé, a expliqué, dimanche, la nouvelle loi sur la nationalité aux Ivoiriens d’origine étrangère du sous-quartier, Vridi, dans la commune de Port-Bouët (au sud d’Abidjan), soulignant que ce nouveau Code de nationalité est plus « conforme » à l’ambition du chef de l’Etat ivoirien.
« Ce nouveau Code de la Nationalité mieux lisible, moderne et plus conforme à l’ambition exprimée au sommet de l’Etat de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020 et qui, surtout, nous réconcilie avec nos valeurs profondes d’hospitalité, demeure méconnu des ayant droits », a déclaré la Vice-présidente Tazéré, au lancement de la campagne de sensibilisation des bénéficiaires de la loi portant acquisition de la nationalité ivoirienne par déclaration.
Pour l’Honorable Célestine Trazéré Olibé, le Parlement ivoirien en adoptant le nouveau Code de nationalité, a effectué un travail « historique » qui réconcilie la Côte d’Ivoire avec ses « valeurs profondes » d’hospitalité, soulignant que l’avenir ne peut être bâti que sur « l’intégration et le pardon ».
« Mais quelles que soient l’opportunité et la pertinence d’un texte législatif, il ne saurait être correctement appliqué que si les acteurs chargés de sa mise en œuvre et les concernés l’ont internalisé » a fait remarquer le député Trazéré Olibé Célestine, saluant l’initiative du collectif des Ivoiriens d’origine étrangère de Port-Bouët, organisateur de la campagne.
Pour Adama Sankara, président dudit collectif, la Côte d’Ivoire, jadis, ne faisait aucune distinction entre l’Ivoirien et l’étranger, indiquant qu’avec la crise économique, de « vilains sentiments avaient fini par se développer au point que l’on avait fini par faire la confusion entre le juridique et la politique ».
« Le président Ouattara a compris qu’un pays ne se construit pas en abandonnant à la périphérie 6% de sa population. L’Assemblée nationale a fait un bon travail en votant cette loi et en nous donnant deux ans pour régulariser cette situation » a-t-il souligné en invitant les concernés par cette loi « à prendre la nationalité » sans complexe.
Le nouveau Code de nationalité adopté par l’Assemblée nationale, l’année dernière, stipule que les personnes nées sur le sol ivoirien de parents étrangers et âgées de moins de 21 ans révolus au 20 décembre 1961 «sont déclarées Ivoiriennes et bénéficient d’un délai de grâce de 24 mois pour régulariser » leur situation.
Il en est de même pour celles ayant résidé en Côte d’Ivoire avant l’indépendance et leurs enfants nés sur le territoire ivoirien ainsi que les personnes nées en Côte d’Ivoire entre le 20 décembre 1961 et le 25 janvier 1973.
HS/ls/APA
« Ce nouveau Code de la Nationalité mieux lisible, moderne et plus conforme à l’ambition exprimée au sommet de l’Etat de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020 et qui, surtout, nous réconcilie avec nos valeurs profondes d’hospitalité, demeure méconnu des ayant droits », a déclaré la Vice-présidente Tazéré, au lancement de la campagne de sensibilisation des bénéficiaires de la loi portant acquisition de la nationalité ivoirienne par déclaration.
Pour l’Honorable Célestine Trazéré Olibé, le Parlement ivoirien en adoptant le nouveau Code de nationalité, a effectué un travail « historique » qui réconcilie la Côte d’Ivoire avec ses « valeurs profondes » d’hospitalité, soulignant que l’avenir ne peut être bâti que sur « l’intégration et le pardon ».
« Mais quelles que soient l’opportunité et la pertinence d’un texte législatif, il ne saurait être correctement appliqué que si les acteurs chargés de sa mise en œuvre et les concernés l’ont internalisé » a fait remarquer le député Trazéré Olibé Célestine, saluant l’initiative du collectif des Ivoiriens d’origine étrangère de Port-Bouët, organisateur de la campagne.
Pour Adama Sankara, président dudit collectif, la Côte d’Ivoire, jadis, ne faisait aucune distinction entre l’Ivoirien et l’étranger, indiquant qu’avec la crise économique, de « vilains sentiments avaient fini par se développer au point que l’on avait fini par faire la confusion entre le juridique et la politique ».
« Le président Ouattara a compris qu’un pays ne se construit pas en abandonnant à la périphérie 6% de sa population. L’Assemblée nationale a fait un bon travail en votant cette loi et en nous donnant deux ans pour régulariser cette situation » a-t-il souligné en invitant les concernés par cette loi « à prendre la nationalité » sans complexe.
Le nouveau Code de nationalité adopté par l’Assemblée nationale, l’année dernière, stipule que les personnes nées sur le sol ivoirien de parents étrangers et âgées de moins de 21 ans révolus au 20 décembre 1961 «sont déclarées Ivoiriennes et bénéficient d’un délai de grâce de 24 mois pour régulariser » leur situation.
Il en est de même pour celles ayant résidé en Côte d’Ivoire avant l’indépendance et leurs enfants nés sur le territoire ivoirien ainsi que les personnes nées en Côte d’Ivoire entre le 20 décembre 1961 et le 25 janvier 1973.
HS/ls/APA