Dans le sillon des activités de la Banque Africaine de Développement (BAD) pour le compte du mois de mai, figure le lancement officiel du fonds Africa 50, un moyen de financement spécialement dédié au développement des infrastructures en Afrique. Destiné à être lancé durant l’assemblée annuelle de la BAD qui se tiendra du 19 au 23 mai prochain à Kigali au Rwanda, le Fonds Africa 50, un organe de financement spécialement dédié au développement du secteur de l'infrastructure en Afrique, sera initialement doté de 3 milliards de dollars.
Inscrit sur le thème « Les 50 années à venir : l'Afrique que nous voulons », ce fonds permettra de mobiliser auprès des établissements financiers à travers le continent, des institutions africaines et internationales, les financements nécessaires à la réalisation des objectifs poursuivis dans le domaine du développement des infrastructures.
Dans les faits, la BAD qui pourrait injecter près de 500 millions de dollars dans ce fonds, espère un retour de financement de 3 milliards de dollars puis, 10 milliards de dollars par la suite.
A ce niveau du projet, des accords de coopération sont en phase d'être signés avec quatre partenaires qui pourraient apporter près de 470 millions de dollars. Ce financement s'ajoutera à celui lié à la contribution des manifestations d'intérêts estimés à 155 millions de dollars.
Avec un besoin de 95 milliards de dollars par an à titre d'investissements dans les infrastructures, l'Afrique accuse un grand retard en matière de développement de ce secteur.
Cette initiative pourrait donc offrir des opportunités de financement tant, l'investissement actuel de l'Afrique dans les infrastructures ne représente que 45 milliards de dollars par an, soit la moitié du financement annuel recherché par le continent pour le développement de ce secteur.
Inscrit sur le thème « Les 50 années à venir : l'Afrique que nous voulons », ce fonds permettra de mobiliser auprès des établissements financiers à travers le continent, des institutions africaines et internationales, les financements nécessaires à la réalisation des objectifs poursuivis dans le domaine du développement des infrastructures.
Dans les faits, la BAD qui pourrait injecter près de 500 millions de dollars dans ce fonds, espère un retour de financement de 3 milliards de dollars puis, 10 milliards de dollars par la suite.
A ce niveau du projet, des accords de coopération sont en phase d'être signés avec quatre partenaires qui pourraient apporter près de 470 millions de dollars. Ce financement s'ajoutera à celui lié à la contribution des manifestations d'intérêts estimés à 155 millions de dollars.
Avec un besoin de 95 milliards de dollars par an à titre d'investissements dans les infrastructures, l'Afrique accuse un grand retard en matière de développement de ce secteur.
Cette initiative pourrait donc offrir des opportunités de financement tant, l'investissement actuel de l'Afrique dans les infrastructures ne représente que 45 milliards de dollars par an, soit la moitié du financement annuel recherché par le continent pour le développement de ce secteur.