Dimbokro – Le préfet de la région du N’Zi et du département de Dimbokro, Dr N’Guessan Obouo Jacques, lors d’une réunion du comité départemental de suivi du RGPH 2014 à son cabinet, vendredi, a informé les membres dudit comité que des familles l’ont saisi du comportement "indélicat" d’un agent recenseur à Kouakoulékikro (village de la commune) et que ce dernier pourrait être radié si l’enquête diligentée confirmait les accusations des villageois.
Cet agent aurait recensé cinq familles sans en épuiser le nombre des membres. Il aurait recensé six personnes sur 12 dans une première famille, neuf sur 17 dans une seconde, puis sept sur 16 dans la troisième famille, quatre sur 15 dans la quatrième famille et et sept sur 11 dans la dernière. En outre, il aurait joint à une liste de 11 personnes non recensées dont le chef du village à ces cas.
"Quand la responsable locale de l’INS supervisant l’opération m’a confirmé ces accusations, j’ai demandé que cet agent soit mis à l’écart en attendant les résultats que me donnera une équipe envoyée sur le terrain pour enquêter. Si les choses s’avèrent, le comité siégera pour prendre une décision exemplaire contre cet agent, afin que d’autres ne suivent pas son exemple", a fait savoir le préfet.
L’agent mis en cause a reconnu, devant le préfet, qu’il n’a pu recenser que 20 chefs de famille dans ce village et ceux non recensés "ne sont jamais là après plusieurs passages" et dit s’inscrire en faux contre toute autre accusation.
"Les personnes dont parlent ces cinq familles ne résident pas dans le village bien qu’étant membres desdites familles", s’est-t-il défendu devant le président du comité local du RGPH 2014.
zgrp/ask
Cet agent aurait recensé cinq familles sans en épuiser le nombre des membres. Il aurait recensé six personnes sur 12 dans une première famille, neuf sur 17 dans une seconde, puis sept sur 16 dans la troisième famille, quatre sur 15 dans la quatrième famille et et sept sur 11 dans la dernière. En outre, il aurait joint à une liste de 11 personnes non recensées dont le chef du village à ces cas.
"Quand la responsable locale de l’INS supervisant l’opération m’a confirmé ces accusations, j’ai demandé que cet agent soit mis à l’écart en attendant les résultats que me donnera une équipe envoyée sur le terrain pour enquêter. Si les choses s’avèrent, le comité siégera pour prendre une décision exemplaire contre cet agent, afin que d’autres ne suivent pas son exemple", a fait savoir le préfet.
L’agent mis en cause a reconnu, devant le préfet, qu’il n’a pu recenser que 20 chefs de famille dans ce village et ceux non recensés "ne sont jamais là après plusieurs passages" et dit s’inscrire en faux contre toute autre accusation.
"Les personnes dont parlent ces cinq familles ne résident pas dans le village bien qu’étant membres desdites familles", s’est-t-il défendu devant le président du comité local du RGPH 2014.
zgrp/ask