Les agents recenseurs de Gagnoa-commune et sous-préfecture ont réclamé bruyamment, le 13 Mai dernier, le paiement de leur dû.
La cour de la préfecture de région du Gôh a été, ce jour-là, le théâtre d'un mouvement de colère des 392 agents recenseurs de Gagnoa-commune et sous-préfecture. Les protestataires y étaient pour réclamer le paiement de leur dû à M Daniel Yao, coordonnateur-superviseur de l'opération de recensemnt général de la population et de l'habitat dans la région du Gôh. Ce dernier a reçu une délégation des agents recenseurs pour lui réaffirmer la position de sa hiérachie. Pire, il a brandi la prison contre les délégués et les agents récalcitrants. Les manifestants sont restés sourds à la menace et au chantage de leur hôte. Qui s'est cloîtré dans son bureau. Ils reprochent à l'Etat le non respect de ses engagements vis-à-vis d'eux. En effet, l'opération de recensement lancée, le 5 Avril dernier, dans la région du Gôh, a pris fin, le 2 Mai dernier. Selon les clauses de ce contrat de travail, l'Etat octroie, au terme de ces 28 jours de travail, une prime de 100 000 Frs à chaque agent recenseur. L'Etat demande aux agents recenseurs de proroger le travail jusqu'au 22 Mai dernier. Sinon il les paiera au prolatat du résultat obtenu. " Ce n'est pas ce qui est dit dans le contrat de travail. L'Etat sait très bien que la population est très hostile à cette opération. Est-ce la faute aux agents recenseurs? Si on doit continuer, c'est un autre contrat. Qui a besoin d'être discuté et concluer. On n'a rien à nous imposer. L'Etat reste devoir à chaque recenseur 80 000 Frs. C'est ce que nous réclamons actuellement avant quoi qu ce soit ", a soutenu un agent recenseur sous le sceau de l'anonymat. Avant de condamner la violence comme seul moyen d'expression du gpuvernement Ouattara. Les agents recenseurs dénoncent ce qu'ils qualifient d'exploitation. Ils n'entendent pas se laisser compter. M Daniel Yao, coordonnateur- superviseur a essuyé, le 11 Mai dernier, à Nagadougou, la colère de certains agents recenseurs.
Marius Dangan Kpan
La cour de la préfecture de région du Gôh a été, ce jour-là, le théâtre d'un mouvement de colère des 392 agents recenseurs de Gagnoa-commune et sous-préfecture. Les protestataires y étaient pour réclamer le paiement de leur dû à M Daniel Yao, coordonnateur-superviseur de l'opération de recensemnt général de la population et de l'habitat dans la région du Gôh. Ce dernier a reçu une délégation des agents recenseurs pour lui réaffirmer la position de sa hiérachie. Pire, il a brandi la prison contre les délégués et les agents récalcitrants. Les manifestants sont restés sourds à la menace et au chantage de leur hôte. Qui s'est cloîtré dans son bureau. Ils reprochent à l'Etat le non respect de ses engagements vis-à-vis d'eux. En effet, l'opération de recensement lancée, le 5 Avril dernier, dans la région du Gôh, a pris fin, le 2 Mai dernier. Selon les clauses de ce contrat de travail, l'Etat octroie, au terme de ces 28 jours de travail, une prime de 100 000 Frs à chaque agent recenseur. L'Etat demande aux agents recenseurs de proroger le travail jusqu'au 22 Mai dernier. Sinon il les paiera au prolatat du résultat obtenu. " Ce n'est pas ce qui est dit dans le contrat de travail. L'Etat sait très bien que la population est très hostile à cette opération. Est-ce la faute aux agents recenseurs? Si on doit continuer, c'est un autre contrat. Qui a besoin d'être discuté et concluer. On n'a rien à nous imposer. L'Etat reste devoir à chaque recenseur 80 000 Frs. C'est ce que nous réclamons actuellement avant quoi qu ce soit ", a soutenu un agent recenseur sous le sceau de l'anonymat. Avant de condamner la violence comme seul moyen d'expression du gpuvernement Ouattara. Les agents recenseurs dénoncent ce qu'ils qualifient d'exploitation. Ils n'entendent pas se laisser compter. M Daniel Yao, coordonnateur- superviseur a essuyé, le 11 Mai dernier, à Nagadougou, la colère de certains agents recenseurs.
Marius Dangan Kpan
