Le sieur Arsène Boga Gnohoury, instituteur à l’école primaire publique de Sayekro, dans la sous-préfecture de Noé, s’est mis dans le pétrin. Examinateur au centre de composition de Nouamou, ce jeune homme de 34 ans a violé, la veille de la composition des examens du CEPE et de l’Entrée en sixième, une candidate de 15 ans. Il a été mis aux arrêts, hier mardi 27 mai, jour de l’examen, puis conduit à la brigade de gendarmerie d’Adiaké.
Dans la nuit du 26 mai, Arsène Boga Gnohoury hèle la petite C.A.N, candidate au CEPE et à l’Entrée en Sixième. Il lui fait des avances en promettant les épreuves de dictée, d’exploitation de texte et de mathématiques c’est-à-dire l’admission à l’examen si C.A.N couche avec lui. L’écolière décline l’offre. C’est mal connaitre cet éducateur à la libido incontrôlée. Arsène Boga Gnohoury fait d’abord des attouchements à la jeune C.A.N qui résiste. Il finit par la posséder de force. L’écolière s’en remet aussitôt après à sa mère. Celle-ci porte plainte dès le matin à l’école, pendant que la candidate composait, malgré les douleurs abdominales.
Mis aux arrêts par la gendarmerie d’Adiaké, l’instituteur violeur affirme avoir fait seulement des attouchements tandis que la fillette soutient mordicus qu’il l’a violée. La brigade de gendarmerie d’Adiaké est chargée de la suite de la procédure. Mais selon des témoignages concordants, Arsène Gnohoury n’est pas à son premier forfait. Il aurait déjà violé deux fillettes au cours de l’année scolaire, des cas passés sous silence. Auparavant, il a été chassé de Bambadougou (IEP d’Aboisso) pour viol de plusieurs écolières, dont l’âge varie entre 8 et 12 ans. A la direction régionale de l’Education nationale d’Aboisso, il a un « casier pédagogique et professionnel » très sale dans le domaine d’attentats à la pudeur consommée.
Pour la session de 2014, ce sont 13 918 candidats qui ont composé dans les 56 centres de la DRENET d’Aboisso. Plus d’une centaine d’absences ont été constatées.
Sam K.D
Dans la nuit du 26 mai, Arsène Boga Gnohoury hèle la petite C.A.N, candidate au CEPE et à l’Entrée en Sixième. Il lui fait des avances en promettant les épreuves de dictée, d’exploitation de texte et de mathématiques c’est-à-dire l’admission à l’examen si C.A.N couche avec lui. L’écolière décline l’offre. C’est mal connaitre cet éducateur à la libido incontrôlée. Arsène Boga Gnohoury fait d’abord des attouchements à la jeune C.A.N qui résiste. Il finit par la posséder de force. L’écolière s’en remet aussitôt après à sa mère. Celle-ci porte plainte dès le matin à l’école, pendant que la candidate composait, malgré les douleurs abdominales.
Mis aux arrêts par la gendarmerie d’Adiaké, l’instituteur violeur affirme avoir fait seulement des attouchements tandis que la fillette soutient mordicus qu’il l’a violée. La brigade de gendarmerie d’Adiaké est chargée de la suite de la procédure. Mais selon des témoignages concordants, Arsène Gnohoury n’est pas à son premier forfait. Il aurait déjà violé deux fillettes au cours de l’année scolaire, des cas passés sous silence. Auparavant, il a été chassé de Bambadougou (IEP d’Aboisso) pour viol de plusieurs écolières, dont l’âge varie entre 8 et 12 ans. A la direction régionale de l’Education nationale d’Aboisso, il a un « casier pédagogique et professionnel » très sale dans le domaine d’attentats à la pudeur consommée.
Pour la session de 2014, ce sont 13 918 candidats qui ont composé dans les 56 centres de la DRENET d’Aboisso. Plus d’une centaine d’absences ont été constatées.
Sam K.D