Le Fonds monétaire international (FMI) et le Gouvernement du Mozambique organisent conjointement les 29 et 30 mai à Maputo une conférence intitulée L’essor africain : construire pour le futur, qui rassemblera des responsables nationaux ainsi que des représentants du secteur privé et de la société civile des pays d’Afrique subsaharienne et au-delà pour réfléchir aux défis auxquels est confrontée la région alors qu’elle s’efforce de consolider les progrès économiques considérables accomplis depuis la crise économique mondiale de 2008.
«Les progrès accomplis au cours de la décennie écoulée, pendant laquelle nombre de pays d’Afrique subsaharienne ont affiché durablement des taux élevés de croissance économique et réussi à faire reculer sensiblement la pauvreté, sont tout simplement remarquables», a déclaré la Directrice générale du FMI, Christine Lagarde. «Cependant, il reste encore beaucoup de chemin à parcourir pour répondre aux aspirations du continent : l’extrême pauvreté est encore trop répandue et l’économie mondiale engendre de nouveaux défis. Le moment est venu de réfléchir aux politiques qui permettront à la région d’atteindre un nouveau palier dans son développement économique».
D’après les projections de la dernière édition du rapport sur les Perspectives économiques régionales pour l’Afrique subsaharienne, publiée en avril, la croissance économique de l’Afrique subsaharienne devrait s’accélérer et s’établir à 5,4 % environ cette année puis à 5,5 % en 2015, contre 4,9 % en 2013. Si l’on exclut l’Afrique du Sud, elle devrait atteindre 6,5 % en 2014 et 2015. Cette accélération est attribuable à l’amélioration des perspectives pour un grand nombre des pays de la région, dont la plupart des pays exportateurs de pétrole et plusieurs pays à faible revenu et États fragiles. L’activité économique de la région continue de s’appuyer sur les investissements massifs dans les infrastructures et le secteur minier, ainsi que sur l’arrivée à maturité de certains investissements. Cependant, les pays africains doivent s’adapter au ralentissement de la croissance dans les pays émergents qui ont contribué à soutenir la croissance de la région ces dernières années, et au resserrement du crédit à l’échelle mondiale.
La conférence L’essor africain rassemblera plus de 300 participants, parmi lesquels les ministres des finances et les gouverneurs de banques centrales de toute la région. Les intervenants représenteront aussi les partenaires de développement, notamment l’Australie, le Brésil et la Chine, le secteur privé et la société civile. Parmi les thèmes de discussion figurent la croissance solidaire, la transformation structurelle, la gestion des ressources naturelles et ce que le FMI peut faire pour continuer de soutenir la croissance économique des pays d’Afrique subsaharienne.
«Les progrès accomplis au cours de la décennie écoulée, pendant laquelle nombre de pays d’Afrique subsaharienne ont affiché durablement des taux élevés de croissance économique et réussi à faire reculer sensiblement la pauvreté, sont tout simplement remarquables», a déclaré la Directrice générale du FMI, Christine Lagarde. «Cependant, il reste encore beaucoup de chemin à parcourir pour répondre aux aspirations du continent : l’extrême pauvreté est encore trop répandue et l’économie mondiale engendre de nouveaux défis. Le moment est venu de réfléchir aux politiques qui permettront à la région d’atteindre un nouveau palier dans son développement économique».
D’après les projections de la dernière édition du rapport sur les Perspectives économiques régionales pour l’Afrique subsaharienne, publiée en avril, la croissance économique de l’Afrique subsaharienne devrait s’accélérer et s’établir à 5,4 % environ cette année puis à 5,5 % en 2015, contre 4,9 % en 2013. Si l’on exclut l’Afrique du Sud, elle devrait atteindre 6,5 % en 2014 et 2015. Cette accélération est attribuable à l’amélioration des perspectives pour un grand nombre des pays de la région, dont la plupart des pays exportateurs de pétrole et plusieurs pays à faible revenu et États fragiles. L’activité économique de la région continue de s’appuyer sur les investissements massifs dans les infrastructures et le secteur minier, ainsi que sur l’arrivée à maturité de certains investissements. Cependant, les pays africains doivent s’adapter au ralentissement de la croissance dans les pays émergents qui ont contribué à soutenir la croissance de la région ces dernières années, et au resserrement du crédit à l’échelle mondiale.
La conférence L’essor africain rassemblera plus de 300 participants, parmi lesquels les ministres des finances et les gouverneurs de banques centrales de toute la région. Les intervenants représenteront aussi les partenaires de développement, notamment l’Australie, le Brésil et la Chine, le secteur privé et la société civile. Parmi les thèmes de discussion figurent la croissance solidaire, la transformation structurelle, la gestion des ressources naturelles et ce que le FMI peut faire pour continuer de soutenir la croissance économique des pays d’Afrique subsaharienne.