Korhogo – Le vice –président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire (CNDHCI), M Traoré Wodjofini a échangé, mardi, avec les organisations de la société civile de la région du Poro dans le cadre des préparatifs de l'élection du président régional de cette commission.
Au cours de cette rencontre qui s’est tenue à la préfecture de Korhogo, M. Wodjofini, a expliqué que les commissions régionales travailleront dans les mêmes conditions que la commission centrale et bénéficieront des ressources de l’Etat et de la protection liée à la loi.
Le commissaire régional qui sera élu à Korhogo, travaillera sur les questions spécifiques de violations des droits de l’homme dans la région notamment l’excision, le mariage forcé, l’école et les conflits éleveurs agriculteurs, soulignant que celui qui sera élu va bénéficier d’un arrêté signé par le Garde des Ssceaux.
Le rôle des commissaires régionaux est aussi de faire la promotion et la défense des droits de l’homme. Ces commissaires travailleront de façon indépendante et saisiront les autorités judiciaires et administratives en cas de violation des droits de l’homme.
Pour M Traoré « la Côte d’Ivoire is Back, la Côte d’Ivoire est de retour et nous sommes dans un état de droit et nous pensons que pour être émergent, il faut respecter les droits de l’homme » a-t-il ajouté.
Le préfet de la région du Poro, Daouda Ouattara a pour sa part demandé aux uns et autres de s’impliquer pour la réussite des missions de la commission régionale et souligné que si cette commission rencontre des difficultés dans l’exercice de sa fonction, l’autorité administrative se fera fort d’apporter son soutien pour les résoudre avec l’appui des forces de l’ordre.
Installée en juillet 2013 , la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) « exerce des fonctions de concertation, de consultation, d’évaluation et de propositions en matière de promotion, de protection et de défense des droits de l’homme. »
Elle est chargée entre autre de conseiller le gouvernement, le parlement et toute autre institution en matière de droits de l’homme, rend compte de la situation des droits de l’homme, veille à la ratification des instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme et reçoit des plaintes et dénonciations portant sur les cas de violations des droits de l’homme.
(AIP)
asp/ask
Au cours de cette rencontre qui s’est tenue à la préfecture de Korhogo, M. Wodjofini, a expliqué que les commissions régionales travailleront dans les mêmes conditions que la commission centrale et bénéficieront des ressources de l’Etat et de la protection liée à la loi.
Le commissaire régional qui sera élu à Korhogo, travaillera sur les questions spécifiques de violations des droits de l’homme dans la région notamment l’excision, le mariage forcé, l’école et les conflits éleveurs agriculteurs, soulignant que celui qui sera élu va bénéficier d’un arrêté signé par le Garde des Ssceaux.
Le rôle des commissaires régionaux est aussi de faire la promotion et la défense des droits de l’homme. Ces commissaires travailleront de façon indépendante et saisiront les autorités judiciaires et administratives en cas de violation des droits de l’homme.
Pour M Traoré « la Côte d’Ivoire is Back, la Côte d’Ivoire est de retour et nous sommes dans un état de droit et nous pensons que pour être émergent, il faut respecter les droits de l’homme » a-t-il ajouté.
Le préfet de la région du Poro, Daouda Ouattara a pour sa part demandé aux uns et autres de s’impliquer pour la réussite des missions de la commission régionale et souligné que si cette commission rencontre des difficultés dans l’exercice de sa fonction, l’autorité administrative se fera fort d’apporter son soutien pour les résoudre avec l’appui des forces de l’ordre.
Installée en juillet 2013 , la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) « exerce des fonctions de concertation, de consultation, d’évaluation et de propositions en matière de promotion, de protection et de défense des droits de l’homme. »
Elle est chargée entre autre de conseiller le gouvernement, le parlement et toute autre institution en matière de droits de l’homme, rend compte de la situation des droits de l’homme, veille à la ratification des instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme et reçoit des plaintes et dénonciations portant sur les cas de violations des droits de l’homme.
(AIP)
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