Abidjan – Pour répondre aux objectifs d’accroissement du taux de transformation locale du café et du cacao, de valorisation de leurs sous-produits et de réduction de la pénibilité du travail des producteurs que s’est fixés le gouvernement, le Conseil du café-cacao et la Société Ivoirienne de technologie tropicale (I2T) ont signé jeudi à Abidjan, un protocole d’accord.
« En joignant nos efforts, nous répondrons ensemble et avec plus d’efficacité, aux nombreux défis actuels que doit relever notre beau pays », s’est réjoui, lors de la cérémonie de signature, le directeur général de I2T, Diarra Oumar qui avait à ses côtés, notamment le PCA de I2T, Koné Bright.
Selon le DG, la signature de ce protocole d’accord de partenariat constitue une étape importante dans le processus d’industrialisation de la Côte d’Ivoire. En effet, a-t-il ajouté, ce partenariat devrait aboutir à faire émerger des solutions opérationnelles et efficaces qui feront l’économie de la daba et de la machette, dans ce pays qui aspire à l’émergence à l’horizon 2020.
Pour atteindre cet ambitieux objectif, le Conseil du café-cacao a décidé de s’appuyer sur l’expertise de I2T en matière d’innovation technologique à travers le présent protocole, a renchéri la DG de la structure de gestion de la filière café-cacao, Massandjé Touré-Litse.
Elle a précisé que sur les six axes stratégiques identifiés dans le cadre de la réforme de la filière entamée en 2011, les cinq liés à la productivité et au développement communautaire ont été mis en œuvre. Ne restait donc que l’axe 4 relatif à la transformation des produits et sous-produits de café et du cacao dont les bases viennent d’être ainsi jetées.
Au nom du ministre de l’Agriculture, Brédoumi Kouassi Soumïla s’est réjoui de ce que les liens à la fois institutionnels et fonctionnels continuent de se faire valoir à travers ce partenariat entre le Conseil du café-cacao et I2T qui était, jusqu’à une date récente, sous tutelle du ministère de l’Agriculture.
Avec quelque 1,5 million de tonne de fève de cacao, soit 40% de la production mondiale, la Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial de cacao. Une culture qui représente, avec son binôme (café), les premières sources de devises du pays en procurant 40% des recettes d’exportation et en contribuant pour plus de 15% au PIB.
(AIP)
cmas
« En joignant nos efforts, nous répondrons ensemble et avec plus d’efficacité, aux nombreux défis actuels que doit relever notre beau pays », s’est réjoui, lors de la cérémonie de signature, le directeur général de I2T, Diarra Oumar qui avait à ses côtés, notamment le PCA de I2T, Koné Bright.
Selon le DG, la signature de ce protocole d’accord de partenariat constitue une étape importante dans le processus d’industrialisation de la Côte d’Ivoire. En effet, a-t-il ajouté, ce partenariat devrait aboutir à faire émerger des solutions opérationnelles et efficaces qui feront l’économie de la daba et de la machette, dans ce pays qui aspire à l’émergence à l’horizon 2020.
Pour atteindre cet ambitieux objectif, le Conseil du café-cacao a décidé de s’appuyer sur l’expertise de I2T en matière d’innovation technologique à travers le présent protocole, a renchéri la DG de la structure de gestion de la filière café-cacao, Massandjé Touré-Litse.
Elle a précisé que sur les six axes stratégiques identifiés dans le cadre de la réforme de la filière entamée en 2011, les cinq liés à la productivité et au développement communautaire ont été mis en œuvre. Ne restait donc que l’axe 4 relatif à la transformation des produits et sous-produits de café et du cacao dont les bases viennent d’être ainsi jetées.
Au nom du ministre de l’Agriculture, Brédoumi Kouassi Soumïla s’est réjoui de ce que les liens à la fois institutionnels et fonctionnels continuent de se faire valoir à travers ce partenariat entre le Conseil du café-cacao et I2T qui était, jusqu’à une date récente, sous tutelle du ministère de l’Agriculture.
Avec quelque 1,5 million de tonne de fève de cacao, soit 40% de la production mondiale, la Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial de cacao. Une culture qui représente, avec son binôme (café), les premières sources de devises du pays en procurant 40% des recettes d’exportation et en contribuant pour plus de 15% au PIB.
(AIP)
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