L’Union nationale des Ong de Côte d’Ivoire (Uoci), n’entend pas rester de marbre devant l’accroissement du problème de l’insécurité sur les différentes routes de la Côte d’Ivoire. Elle a organisé hier, une rencontre à la Caistab au Plateau, où d’importantes propositions ont été faites pour mettre fin aux activités des coupeurs de route et des braqueurs dans les taxis. Il s’agit, entre autres, de la formation des acteurs du secteur du transport, de l’amélioration de la performance du système de vidéosurveillance installé dans le District d’Abidjan, de l’accroissement de l’éclairage public, de la création par l’Etat de facilités pour le renouvellement des parcs auto des transporteurs. Il a été proposé l’augmentation des Brigades de surveillance sur les différents axes routiers de la Côte d’ Ivoire, la construction de plusieurs brigades de sapeurs pompiers à l’intérieur du pays.
Ces différentes propositions, loin d’être exhaustives, seront confinées dans un document final, qui sera mis à la disposition des autorités en charge du secteur du transport. A l’ouverture des travaux, Lucien Tapé Mambo, président de l’Uoci a expliqué que la tenue de cette rencontre a été suscitée par sa structure à cause de l’ampleur très inquiétante de l’insécurité routière.
« L’insécurité dans le transport, aussi bien urbain qu’interurbain, est un gros problème national. Nous connaissons tous les méfaits que les coupeurs de route, désormais armés de kalachnikovs, font subir sur nos routes et pistes. Les conducteurs et leurs passagers ne sont pas épargnés. Les propriétaires des véhicules personnels et les pauvres paysans ne sont également pas épargnés. Nous avons, depuis un certain moment, des agressions dans les taxis compteurs », a-t-il dénoncé.
La rencontre d’hier devrait donc permettre la mise en place d’un système de solutions capables de juguler ce fléau de l’insécurité dans le transport. « Il nous revient de faire un diagnostic de la situation, sans complaisance ni acrimonie et de proposer une thérapie viable et fiable », a-t-il préconisé.
Le représentant du ministre des Transports, Tra Bi, a salué cette initiative de l’Uoci. Il a affirmé que les routes tuent 600 personnes chaque année en Côte d’Ivoire et que les différentes recommandations qui seront dégagées, seront prises en compte par le ministère des Transports.
Aboubakar Sangaré
Ces différentes propositions, loin d’être exhaustives, seront confinées dans un document final, qui sera mis à la disposition des autorités en charge du secteur du transport. A l’ouverture des travaux, Lucien Tapé Mambo, président de l’Uoci a expliqué que la tenue de cette rencontre a été suscitée par sa structure à cause de l’ampleur très inquiétante de l’insécurité routière.
« L’insécurité dans le transport, aussi bien urbain qu’interurbain, est un gros problème national. Nous connaissons tous les méfaits que les coupeurs de route, désormais armés de kalachnikovs, font subir sur nos routes et pistes. Les conducteurs et leurs passagers ne sont pas épargnés. Les propriétaires des véhicules personnels et les pauvres paysans ne sont également pas épargnés. Nous avons, depuis un certain moment, des agressions dans les taxis compteurs », a-t-il dénoncé.
La rencontre d’hier devrait donc permettre la mise en place d’un système de solutions capables de juguler ce fléau de l’insécurité dans le transport. « Il nous revient de faire un diagnostic de la situation, sans complaisance ni acrimonie et de proposer une thérapie viable et fiable », a-t-il préconisé.
Le représentant du ministre des Transports, Tra Bi, a salué cette initiative de l’Uoci. Il a affirmé que les routes tuent 600 personnes chaque année en Côte d’Ivoire et que les différentes recommandations qui seront dégagées, seront prises en compte par le ministère des Transports.
Aboubakar Sangaré