Madinani - Un groupe de cinq individus mène, depuis le début du mois de juin, une campagne contre la vie chère au sein du marché de Madinani, en sensibilisant les commerçants à la baisse des prix des denrées alimentaires de première nécessité.
Le chef du village de Marinai (commune de Madinani) et ses notables, ayant constaté, depuis un certains temps, une flambée des prix des denrées alimentaires de première nécessité, ont décidé de mettre en place un comité de suivi de cinq personnes (deux femmes et trois hommes), pour négocier auprès des commerçants la baisse des prix de ces denrées.
"Nous voulons simplement que les commerçants revoient les prix de certains aliments comme l’aubergine, le kilogramme de l’oignon, le gombo, et même le charbon", a expliqué M. Koné Lanciné, membre du comité, lors d’un entretien avec l’AIP.
A l’entendre, les ménages n’acceptent d’acheter le tas de trois ou quatre tubercules d’igname qu’à 1000 FCFA au lieu de 2.000 FCFA actuellement constatés sur le marché.
Les vendeurs qui ne se conformeront pas aux propositions du comité de suivi seront chassés du marché, après la phase de sensibilisation, a prévenu M. Koné.
(AIP)
Mk/kkp/kp
Le chef du village de Marinai (commune de Madinani) et ses notables, ayant constaté, depuis un certains temps, une flambée des prix des denrées alimentaires de première nécessité, ont décidé de mettre en place un comité de suivi de cinq personnes (deux femmes et trois hommes), pour négocier auprès des commerçants la baisse des prix de ces denrées.
"Nous voulons simplement que les commerçants revoient les prix de certains aliments comme l’aubergine, le kilogramme de l’oignon, le gombo, et même le charbon", a expliqué M. Koné Lanciné, membre du comité, lors d’un entretien avec l’AIP.
A l’entendre, les ménages n’acceptent d’acheter le tas de trois ou quatre tubercules d’igname qu’à 1000 FCFA au lieu de 2.000 FCFA actuellement constatés sur le marché.
Les vendeurs qui ne se conformeront pas aux propositions du comité de suivi seront chassés du marché, après la phase de sensibilisation, a prévenu M. Koné.
(AIP)
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