Réfléchir une opération antibiotique pour soutenir les forces de sécurité dans l’éradication le phénomène des microbes.
1/ Les manifestations
Le phénomène des Microbes est apparu au troisième trimestre 2012 à Port-Bouet. C’étaient des jeunes venus à la place Akwaba pour pratiquer le sport. En rentrant à la tombée de la nuit, ils se constituaient en bandes d’agresseurs et s’attaquaient à des passants. Quelques temps après, le phénomène s’est déporté dans la commune d’Attécoubé où ils utilisaient des couteaux. S’en est suivi l’étape d’Abobo où la situation s’est dégradée. Ils opèrent à la machette et on entend de plus en plus des coups de feux quand ils opèrent.
Les Microbes ont d’autres appellations ; certains groupes se font appeler Von-Von et d’autres Virus. Ils ont entre 08 et 18 ans. Ce sont donc des mineurs devenu très dangereux dans la société. Parlant de leur profil, il faut dire qu’il y a au sein de ces bandes des jeunes filles comme des jeunes garçon.
A Abobo, notamment, ils opèrent dans les sous quartiers de Samaké, d’Abobo-baoulé, de Kennedy –Clouétcha, d’Abobo Belle-ville où ils sont venus opérés une fois en minicar qu’ils avaient préalablement braqué en bande.
Parlant des lieux d’agression, ils sont passés de l’étape de la rue et attaquent les domiciles et les commerces.
2/ Les facteurs
Les Microbes en s’adonnant à ces pratiques veulent manifester des actes de bravoure. Ils sont souvent déscolarisés et veulent ressembler aux com-zone. Ces groupes de Microbes sont parrainés par des individus tapis dans l’ombre qui les guident et les orientent. Au nombre des causes, il faut souligner la démission des parents, la pauvreté, le manque d’éducation, l’analphabétisme. La responsabilité de L’Etat à travers les crises successives à plongé ces gamins dans un état traumatique. Cela a entrainé des problèmes psychologiques tendant à les déshumaniser. Il faut enfin signifier le rôle joué par les médias à travers des vidéo où des films sur la violence. Il n’y a pas de restriction et les enfants à bas âge vont au cœur de la violence à travers les médias et Internet. Nous terminons avec la pauvreté généralisée qui a contribué à ouvrir les portes de notre société à cette délinquance juvénile et l’insuffisance de l’appareil judiciaire.
3/ Les conséquences
L’insécurité et le sentiment d’insécurité provoqués par les Microbes affectent énormément la société. Le phénomène a enregistré des morts d’hommes aussi bien dans le rang des victimes que des agresseurs. Ceux qui échappent à la mort portent des blessures ou sont mutilés des suites de leur agression. Si rien n’est fait dans les meilleurs délais nous allons vers la recrudescence du grand banditisme et de la grande délinquance. La cohésion sociale Le comble dans tout cela est le frein à l’investissement
4/ Les Réponses
Les réponses que nous retenons pour l’éradication des Microbes sont les suivant :
Implication des parents dans la recherche de solution au problème des Microbes
Renforcer les capacités opérationnelles des forces de sécurité sur le terrain
Reforme de l’appareil judiciaire.
Démantèlement des fumoirs
Désarmement
Sensibilisation : OSC, chefs religieux, chefs coutumiers, population
Renforcer la collaboration entre les forces de sécurités, la population et les leaders communautaires
Opérations discrète sur le terrain visant les Microbes, leurs parents, la communauté
L’éducation et la formation
Application effective de la gratuité de l’école
Sensibilisation à travers les médias audio-visuels
Organisation de la société civile
La bonne gouvernance
Identifier ceux qui parrainent les Microbes
Comb
1/ Les manifestations
Le phénomène des Microbes est apparu au troisième trimestre 2012 à Port-Bouet. C’étaient des jeunes venus à la place Akwaba pour pratiquer le sport. En rentrant à la tombée de la nuit, ils se constituaient en bandes d’agresseurs et s’attaquaient à des passants. Quelques temps après, le phénomène s’est déporté dans la commune d’Attécoubé où ils utilisaient des couteaux. S’en est suivi l’étape d’Abobo où la situation s’est dégradée. Ils opèrent à la machette et on entend de plus en plus des coups de feux quand ils opèrent.
Les Microbes ont d’autres appellations ; certains groupes se font appeler Von-Von et d’autres Virus. Ils ont entre 08 et 18 ans. Ce sont donc des mineurs devenu très dangereux dans la société. Parlant de leur profil, il faut dire qu’il y a au sein de ces bandes des jeunes filles comme des jeunes garçon.
A Abobo, notamment, ils opèrent dans les sous quartiers de Samaké, d’Abobo-baoulé, de Kennedy –Clouétcha, d’Abobo Belle-ville où ils sont venus opérés une fois en minicar qu’ils avaient préalablement braqué en bande.
Parlant des lieux d’agression, ils sont passés de l’étape de la rue et attaquent les domiciles et les commerces.
2/ Les facteurs
Les Microbes en s’adonnant à ces pratiques veulent manifester des actes de bravoure. Ils sont souvent déscolarisés et veulent ressembler aux com-zone. Ces groupes de Microbes sont parrainés par des individus tapis dans l’ombre qui les guident et les orientent. Au nombre des causes, il faut souligner la démission des parents, la pauvreté, le manque d’éducation, l’analphabétisme. La responsabilité de L’Etat à travers les crises successives à plongé ces gamins dans un état traumatique. Cela a entrainé des problèmes psychologiques tendant à les déshumaniser. Il faut enfin signifier le rôle joué par les médias à travers des vidéo où des films sur la violence. Il n’y a pas de restriction et les enfants à bas âge vont au cœur de la violence à travers les médias et Internet. Nous terminons avec la pauvreté généralisée qui a contribué à ouvrir les portes de notre société à cette délinquance juvénile et l’insuffisance de l’appareil judiciaire.
3/ Les conséquences
L’insécurité et le sentiment d’insécurité provoqués par les Microbes affectent énormément la société. Le phénomène a enregistré des morts d’hommes aussi bien dans le rang des victimes que des agresseurs. Ceux qui échappent à la mort portent des blessures ou sont mutilés des suites de leur agression. Si rien n’est fait dans les meilleurs délais nous allons vers la recrudescence du grand banditisme et de la grande délinquance. La cohésion sociale Le comble dans tout cela est le frein à l’investissement
4/ Les Réponses
Les réponses que nous retenons pour l’éradication des Microbes sont les suivant :
Implication des parents dans la recherche de solution au problème des Microbes
Renforcer les capacités opérationnelles des forces de sécurité sur le terrain
Reforme de l’appareil judiciaire.
Démantèlement des fumoirs
Désarmement
Sensibilisation : OSC, chefs religieux, chefs coutumiers, population
Renforcer la collaboration entre les forces de sécurités, la population et les leaders communautaires
Opérations discrète sur le terrain visant les Microbes, leurs parents, la communauté
L’éducation et la formation
Application effective de la gratuité de l’école
Sensibilisation à travers les médias audio-visuels
Organisation de la société civile
La bonne gouvernance
Identifier ceux qui parrainent les Microbes
Comb
