Le président de la Coordination nationale des acteurs judiciaires pour la lutte contre les violences basées sur le genre, M. N’Cho Victorien Franck, a déclaré à l’AIP, lundi, avoir animé récemment, des conférences à Daloa et Bouaflé pour sensibiliser contre le fléau.
Les enseignants constituent, selon M. N’Cho Victorien, le fer de lance de la coordination pour mettre fin aux violences basées sur le genre. Ainsi, après plusieurs rencontres de sensibilisation des enseignants d’Odienné, la Coordination selon lui, veut se faire entendre dans d’autres grandes villes de la Côte d’ Ivoire. C’est dans ce cadre qu’elle a animé récemment une conférence au Lycée 3 de Daloa et au Lycée 2 de Bouaflé.
Le président de la coordination, le procureur près la section du tribunal d’Odienné, N’Cho Victorien Franck dit avoir sensibilisé enseignants, éducateurs, parents d’élèves et élèves sur les conséquences des violences sur le genre en milieux scolaire.
Ces conséquences ont pour nom, selon lui, la déscolarisation des filles, la formation au rabais, des peines d’emprisonnement voire des pertes en vie humaine. Il a insisté sur le code pénal qui condamne le viol, le harcèlement sexuel et toute autre forme de violence basé sur le genre.
Il a invité le personnel enseignant à dénoncer tous cas de violence basée sur le genre et a prévenu les éventuels coupables que nul n’est censé ignorer la loi.
ss/ask
Les enseignants constituent, selon M. N’Cho Victorien, le fer de lance de la coordination pour mettre fin aux violences basées sur le genre. Ainsi, après plusieurs rencontres de sensibilisation des enseignants d’Odienné, la Coordination selon lui, veut se faire entendre dans d’autres grandes villes de la Côte d’ Ivoire. C’est dans ce cadre qu’elle a animé récemment une conférence au Lycée 3 de Daloa et au Lycée 2 de Bouaflé.
Le président de la coordination, le procureur près la section du tribunal d’Odienné, N’Cho Victorien Franck dit avoir sensibilisé enseignants, éducateurs, parents d’élèves et élèves sur les conséquences des violences sur le genre en milieux scolaire.
Ces conséquences ont pour nom, selon lui, la déscolarisation des filles, la formation au rabais, des peines d’emprisonnement voire des pertes en vie humaine. Il a insisté sur le code pénal qui condamne le viol, le harcèlement sexuel et toute autre forme de violence basé sur le genre.
Il a invité le personnel enseignant à dénoncer tous cas de violence basée sur le genre et a prévenu les éventuels coupables que nul n’est censé ignorer la loi.
ss/ask