DAKAR - Le Sommet du NEPAD (Nouveau Partenariat pour le Développement de l'Afrique) sur le financement des infrastructures en Afrique, qui s'est terminé dimanche, a adopté "l'Agenda de Dakar pour l'Action (ADA)" qui réitère que le développement des infrastructures reste "un facteur clé et essentiel" pour la croissance durable en Afrique.
"Nous réaffirmons que le paysage économique favorable actuel sur le continent donne l'occasion unique d'aborder collectivement le déficit des infrastructures par le financement de projets à impact élevé nationaux et régionaux essentiels. Combler les lacunes de l'infrastructure de l'Afrique contribuera à créer les conditions préalables économiques nécessaires à la croissance à long terme inscrite dans les objectifs de l'Union africaine et du NEPAD", indique l'Agenda de Dakar pour l'Action.
Selon le document, le sommet de Dakar a souligné la nécessité de "construire et de renforcer les synergies innovantes entre les secteurs public et privé pour mobiliser des investissements financiers panafricains et mondiaux pour le développement des infrastructures sur le continent".
Le sommet de Dakar avait pour but d'accélérer le bouclage financier des seize projets d'infrastructures régionaux sélectionnés et considérés comme prioritaires.
Commentant l'agenda, Stanley Subramoney, le président de la NEPAD Business Fondation, a déclaré que le secteur privé était plus déterminé que jamais à soutenir la croissance des infrastructures en Afrique.
"Il faut utiliser les mécanismes financiers internes (..) car il faut briser la dépendance pour la mobilisation de ressources", a souligné M. Stanley.
"Le moment est venu de financer les programmes de développement du continent africain à partir de ses ressources comme proposé par la commission de l'Union africaine", a estimé Stanley Subramoney.
Convoqué par le président sénégalais Macky Sall, président du Comité d'orientation des chefs d'Etat et de gouvernement du NEPAD, s'est déroulé en présence des présidents du Nigeria Goodluck Jonathan et du Mali Ibrahima Boubacar Keïta, et du président du Bénin Boni Yayi.
"Nous réaffirmons que le paysage économique favorable actuel sur le continent donne l'occasion unique d'aborder collectivement le déficit des infrastructures par le financement de projets à impact élevé nationaux et régionaux essentiels. Combler les lacunes de l'infrastructure de l'Afrique contribuera à créer les conditions préalables économiques nécessaires à la croissance à long terme inscrite dans les objectifs de l'Union africaine et du NEPAD", indique l'Agenda de Dakar pour l'Action.
Selon le document, le sommet de Dakar a souligné la nécessité de "construire et de renforcer les synergies innovantes entre les secteurs public et privé pour mobiliser des investissements financiers panafricains et mondiaux pour le développement des infrastructures sur le continent".
Le sommet de Dakar avait pour but d'accélérer le bouclage financier des seize projets d'infrastructures régionaux sélectionnés et considérés comme prioritaires.
Commentant l'agenda, Stanley Subramoney, le président de la NEPAD Business Fondation, a déclaré que le secteur privé était plus déterminé que jamais à soutenir la croissance des infrastructures en Afrique.
"Il faut utiliser les mécanismes financiers internes (..) car il faut briser la dépendance pour la mobilisation de ressources", a souligné M. Stanley.
"Le moment est venu de financer les programmes de développement du continent africain à partir de ses ressources comme proposé par la commission de l'Union africaine", a estimé Stanley Subramoney.
Convoqué par le président sénégalais Macky Sall, président du Comité d'orientation des chefs d'Etat et de gouvernement du NEPAD, s'est déroulé en présence des présidents du Nigeria Goodluck Jonathan et du Mali Ibrahima Boubacar Keïta, et du président du Bénin Boni Yayi.