Abidjan- Le gouverneur de Bank Al-Maghreb (BAM), Abdellatif Jouahri, a confirmé, mardi, que le Maroc va effectivement finaliser un nouveau programme avec le Fonds monétaire international (FMI) pour se procurer une nouvelle ligne de précaution et de liquidité (LPL), à compter d’août, et pour deux ans.
La directrice générale du FMI, Christine Lagarde, avait envoyé un signal favorable concernant la possibilité d’une deuxième ligne de précaution et de liquidité (LPL) pour le Maroc, en mai dernier, lors de sa visite au royaume chérifien.
En effet, le Maroc, sans toucher à la première LPL accordée par le FMI en août 2012, a su l’utiliser comme « assurance pour engager les réformes nécessaires à la stabilité financière », a affirmé Mme Lagarde.
«La ligne de précaution et de liquidité (LPL) est conçue pour répondre de façon souple aux besoins de liquidité des pays membres dont l’économie est foncièrement solide, mais qui restent exposés à quelques facteurs de vulnérabilité les empêchant d’avoir recours à la ligne de crédit modulable (LCM). À ce jour, deux pays, l’ex-République yougoslave de Macédoine et le Maroc, ont eu recours à la LPL», informe le FMI dans un communiqué.
Pour le Maroc, la LPL, approuvée en août 2012 en vertu d’un accord de 24 mois, portait sur le montant global de 6,3 milliards de dollars que les responsables marocains assurent n’avoir pas touché.
cmas
La directrice générale du FMI, Christine Lagarde, avait envoyé un signal favorable concernant la possibilité d’une deuxième ligne de précaution et de liquidité (LPL) pour le Maroc, en mai dernier, lors de sa visite au royaume chérifien.
En effet, le Maroc, sans toucher à la première LPL accordée par le FMI en août 2012, a su l’utiliser comme « assurance pour engager les réformes nécessaires à la stabilité financière », a affirmé Mme Lagarde.
«La ligne de précaution et de liquidité (LPL) est conçue pour répondre de façon souple aux besoins de liquidité des pays membres dont l’économie est foncièrement solide, mais qui restent exposés à quelques facteurs de vulnérabilité les empêchant d’avoir recours à la ligne de crédit modulable (LCM). À ce jour, deux pays, l’ex-République yougoslave de Macédoine et le Maroc, ont eu recours à la LPL», informe le FMI dans un communiqué.
Pour le Maroc, la LPL, approuvée en août 2012 en vertu d’un accord de 24 mois, portait sur le montant global de 6,3 milliards de dollars que les responsables marocains assurent n’avoir pas touché.
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