Bondoukou - Une quinzaine de responsables de restaurants et de maquis de Bondoukou a pris part, vendredi, à une réunion d'information sur les mesures de prévention contre la fièvre Ebola.
Initiée par la direction régionale des Eaux et Forêts de Gontougo, cette rencontre vise à les amener à observer les mesures de prévention prises par le gouvernement contre cette maladie qui sévit actuellement dans trois pays limitrophes.
Il s'agit notamment d'éviter de chasser les gibiers (singes, chimpanzés, chauves-souris, agoutis...), de consommer et de manipuler des animaux morts de causes inconnues ou retrouvés malades dans une forêt.
Le directeur régional des Eaux et Forêts de Bondoukou, le lieutenant-colonel Agboli N'Guessan, a fait savoir que ces mesures "frappent" les animaux sauvages élevés en ville tout comme ceux qui sont dans leur milieu naturel.
"Pour le moment, il faut observer ces mesures pour éviter qu'on se tue", a déclaré le lieutenant-colonel Agboli, exhortant les participants à reconvertir leurs activités jusqu'à l'éloignement de la menace de cette maladie mortelle.
Le directeur régional des Eaux et Forêts a prévenu que ses éléments mettront tout en œuvre pour veiller à l'application de ces mesures, en effectuant régulièrement des missions sur le terrain, appelant ses frères d'armes à la solidarité."Je voudrais vous inviter à observer ces mesures prises par le gouvernement", a-t-il insisté, ajourant que tout contrevenant sera sanctionné selon la loi en vigueur.
Des participants ont salué la direction régionale des Eaux et Forêts pour cette initiative, affirmant leur adhésion à ces mesures prises par le gouvernement, pour prévenir la fièvre Ebola.
La fièvre Ebola est une maladie tropicale extrêmement infectieuse causée par un virus appartenant à la famille des Filovirus. Ses principaux symptômes sont la fièvre et l'hémorragie. Dans la plupart des cas, elle aboutit à la mort du patient.
La maladie s'est déclarée pour la première fois en 1976 près du fleuve Ebola, en République démocratique du Congo. Elle sévit actuellement en Guinée-Conakry, Sierra-Leone et au Libéria où, selon l'OMS, 337 personnes sont mortes sur 528 cas cumulés déclarés.
(AIP)
Ns/kp
Initiée par la direction régionale des Eaux et Forêts de Gontougo, cette rencontre vise à les amener à observer les mesures de prévention prises par le gouvernement contre cette maladie qui sévit actuellement dans trois pays limitrophes.
Il s'agit notamment d'éviter de chasser les gibiers (singes, chimpanzés, chauves-souris, agoutis...), de consommer et de manipuler des animaux morts de causes inconnues ou retrouvés malades dans une forêt.
Le directeur régional des Eaux et Forêts de Bondoukou, le lieutenant-colonel Agboli N'Guessan, a fait savoir que ces mesures "frappent" les animaux sauvages élevés en ville tout comme ceux qui sont dans leur milieu naturel.
"Pour le moment, il faut observer ces mesures pour éviter qu'on se tue", a déclaré le lieutenant-colonel Agboli, exhortant les participants à reconvertir leurs activités jusqu'à l'éloignement de la menace de cette maladie mortelle.
Le directeur régional des Eaux et Forêts a prévenu que ses éléments mettront tout en œuvre pour veiller à l'application de ces mesures, en effectuant régulièrement des missions sur le terrain, appelant ses frères d'armes à la solidarité."Je voudrais vous inviter à observer ces mesures prises par le gouvernement", a-t-il insisté, ajourant que tout contrevenant sera sanctionné selon la loi en vigueur.
Des participants ont salué la direction régionale des Eaux et Forêts pour cette initiative, affirmant leur adhésion à ces mesures prises par le gouvernement, pour prévenir la fièvre Ebola.
La fièvre Ebola est une maladie tropicale extrêmement infectieuse causée par un virus appartenant à la famille des Filovirus. Ses principaux symptômes sont la fièvre et l'hémorragie. Dans la plupart des cas, elle aboutit à la mort du patient.
La maladie s'est déclarée pour la première fois en 1976 près du fleuve Ebola, en République démocratique du Congo. Elle sévit actuellement en Guinée-Conakry, Sierra-Leone et au Libéria où, selon l'OMS, 337 personnes sont mortes sur 528 cas cumulés déclarés.
(AIP)
Ns/kp
