Les membres de la formation zouglou Zouglou makers ont présenté et lancé officiellement, vendredi, au Temple live discothèque à Cocody-Angré, au cours d’une conférence de presse, leur tout premier album, «Djamo-Djamo».
Pour le lead vocal Jean Roger Adom, «depuis une dizaine d’années, nous sommes ensemble et avons beaucoup tourné. Il était donc temps qu’aujourd’hui, nous offrons notre premier bébé «Djamo-Djamo».
C’est Oumar Salso, directeur adjoint des opérations à Canta Production, structure qui possède le Temple, qui a animé cette rencontre.
La séance d’écoute de plusieurs titres a permis à la presse d’apprécier la quintessence de cette œuvre. Des titres comme «Djamo-Djamo», «Zouglou Ier», «La Lettre» et «C’est ça qui va tuer» ont particulièrement été appréciés. Vu qu’ils sont de qualité.
Par ailleurs, un concert dédicace de cet album est même prévu pour le 6 août prochain, au Temple live discothèque, a-t-on appris.
Réputée pour sa dextérité en matière d’interprétation de titres zouglou, la formation Zouglou makers, depuis bien des années déjà qu'il existe, signe ainsi une œuvre de 11 titres enregistrés en live. Elle fait voyager dans le temps comme dans l’espace, rappelant le pur zouglou des années 1990 du temps des Bilé Didier et autres faiseurs de zouglou. En plus de la joie qu'il procure, cet album est également un livre musical doté de conseils sur la prostitution, qui est aujourd'hui un véritable problème de société. Jean Roger Adom, lead vocal, et les siens n’ont pas déçu. Au contraire, ils aiguisent l’appétit de tous les puristes du rythme urbain. Le style de chant singulier au groupe, l’habileté des instrumentistes, juxtaposés au génie de l’arrangeur David Tayorault, contribuent à enthousiasmer les zouglouphiles.
A noter que Shaolin Konty et Soum Bill ont posé leur voix sur cette oeuvre. Au niveau des chœurs, El Commandante et Fabio Mercenaire ont prêté main forte à l’aîné des orchestres zouglou en Côte d’Ivoire. «Djamo-Djamo» est sur le marché.
M.B.
Pour le lead vocal Jean Roger Adom, «depuis une dizaine d’années, nous sommes ensemble et avons beaucoup tourné. Il était donc temps qu’aujourd’hui, nous offrons notre premier bébé «Djamo-Djamo».
C’est Oumar Salso, directeur adjoint des opérations à Canta Production, structure qui possède le Temple, qui a animé cette rencontre.
La séance d’écoute de plusieurs titres a permis à la presse d’apprécier la quintessence de cette œuvre. Des titres comme «Djamo-Djamo», «Zouglou Ier», «La Lettre» et «C’est ça qui va tuer» ont particulièrement été appréciés. Vu qu’ils sont de qualité.
Par ailleurs, un concert dédicace de cet album est même prévu pour le 6 août prochain, au Temple live discothèque, a-t-on appris.
Réputée pour sa dextérité en matière d’interprétation de titres zouglou, la formation Zouglou makers, depuis bien des années déjà qu'il existe, signe ainsi une œuvre de 11 titres enregistrés en live. Elle fait voyager dans le temps comme dans l’espace, rappelant le pur zouglou des années 1990 du temps des Bilé Didier et autres faiseurs de zouglou. En plus de la joie qu'il procure, cet album est également un livre musical doté de conseils sur la prostitution, qui est aujourd'hui un véritable problème de société. Jean Roger Adom, lead vocal, et les siens n’ont pas déçu. Au contraire, ils aiguisent l’appétit de tous les puristes du rythme urbain. Le style de chant singulier au groupe, l’habileté des instrumentistes, juxtaposés au génie de l’arrangeur David Tayorault, contribuent à enthousiasmer les zouglouphiles.
A noter que Shaolin Konty et Soum Bill ont posé leur voix sur cette oeuvre. Au niveau des chœurs, El Commandante et Fabio Mercenaire ont prêté main forte à l’aîné des orchestres zouglou en Côte d’Ivoire. «Djamo-Djamo» est sur le marché.
M.B.