Abidjan - La première journée de composition des épreuves écrites de la session 2014 du baccalauréat s’est déroulée lundi dans la "sérénité et le calme", a constaté l’AIP dans plusieurs centres de l’intérieur du pays.
A Sinfra, où 2.427 candidats répartis dans cinq centres de composition sur l'ensemble du département affrontent les épreuves, le directeur départemental de l'Education nationale et de l'Enseignement technique (DDENET), Koffi Kobénan Hyacinthe, a rappelé aux surveillants et aux candidats les consignes du ministre pour des "examens propres". Il a insisté sur le "respect strict" de ces consignes, afin "d'éviter tout problème".
A sa suite, le Secrétaire général de préfecture, Akpa Aimé Roland, a demandé aux candidats de "rester sereins et disciplinés" pour un "examen propre". Il a souhaité un taux de réussite au Bac supérieur à ceux enregistrés au CEPE (75% ) et au BEPC (50,11%).
A Agnibilékrou, 1.427 candidats sont au "front" dans deux centres, le lycée moderne et le collège moderne.
"Vous n’avez pas à avoir peur. Soyez sereins et faites-vous confiance. Considérez que ces épreuves sont les derniers devoirs de l’année scolaire", les a exhortés le préfet Bamba Souleymane au lancement de l’examen.
Examinateurs et candidats disent apprécier la réforme concernant les compositions qui se font désormais du lundi au vendredi, uniquement dans la matinée, excepté le vendredi.
Les premiers disent employer les après-midis pour procéder au compostage des copies recueillies dans la matinée. Les seconds eux disent mettre à profit ce moment pour se reposer et faire des révisions pour la discipline du lendemain. Toutefois, les candidats apprécient moins le fait que celui qui a fini sa composition avant l’heure impartie doit attendre la fin de la plage horaire avant de sortir de la salle.
A Mankono, dans la région du Béré, 357 candidats composent au bac dont les épreuves ont effectivement démarré à 7h30. "Pour l’heure, nous ne notons aucun incident", a confié à l’AIP le superviseur, Bonga Etienne, après la composition de la première épreuve.
Aucun absent parmi les candidats, ni dans les rangs des examinateurs, le Bac a démarré dans le "calme et la sérénité" à Tanda, dans le Gontougo, où 838 candidats sont à l’assaut des épreuves depuis lundi.
"Aucun fait majeur n’a entravé le déroulement de la composition après le lancement des épreuves par les autorités préfectorales", ont indiqué les présidents de jury des centres du lycée municipal et du collège moderne, Saki Justin et Pita Bogui.
A Zuénoula, ce sont 1.570 candidats qui sont concernés cette année par le bac, contre 2.000 candidats à Toumodi où les organisateurs ont misé sur la "sécurité dissuasive" avec la présence "remarquable" des forces de sécurité qui interdisent l’entrée à toute personne étrangère aux examens.
En plus du dispositif sécuritaire, il y a un dispositif sanitaire avec l’unité mobile de l’hôpital général de Toumodi qui sillonne les centres d’examen à bord d’une ambulance, a constaté l’AIP.
(AIP)
llv/jcl/oil/eyk/akr/gba/aaa/ask
A Sinfra, où 2.427 candidats répartis dans cinq centres de composition sur l'ensemble du département affrontent les épreuves, le directeur départemental de l'Education nationale et de l'Enseignement technique (DDENET), Koffi Kobénan Hyacinthe, a rappelé aux surveillants et aux candidats les consignes du ministre pour des "examens propres". Il a insisté sur le "respect strict" de ces consignes, afin "d'éviter tout problème".
A sa suite, le Secrétaire général de préfecture, Akpa Aimé Roland, a demandé aux candidats de "rester sereins et disciplinés" pour un "examen propre". Il a souhaité un taux de réussite au Bac supérieur à ceux enregistrés au CEPE (75% ) et au BEPC (50,11%).
A Agnibilékrou, 1.427 candidats sont au "front" dans deux centres, le lycée moderne et le collège moderne.
"Vous n’avez pas à avoir peur. Soyez sereins et faites-vous confiance. Considérez que ces épreuves sont les derniers devoirs de l’année scolaire", les a exhortés le préfet Bamba Souleymane au lancement de l’examen.
Examinateurs et candidats disent apprécier la réforme concernant les compositions qui se font désormais du lundi au vendredi, uniquement dans la matinée, excepté le vendredi.
Les premiers disent employer les après-midis pour procéder au compostage des copies recueillies dans la matinée. Les seconds eux disent mettre à profit ce moment pour se reposer et faire des révisions pour la discipline du lendemain. Toutefois, les candidats apprécient moins le fait que celui qui a fini sa composition avant l’heure impartie doit attendre la fin de la plage horaire avant de sortir de la salle.
A Mankono, dans la région du Béré, 357 candidats composent au bac dont les épreuves ont effectivement démarré à 7h30. "Pour l’heure, nous ne notons aucun incident", a confié à l’AIP le superviseur, Bonga Etienne, après la composition de la première épreuve.
Aucun absent parmi les candidats, ni dans les rangs des examinateurs, le Bac a démarré dans le "calme et la sérénité" à Tanda, dans le Gontougo, où 838 candidats sont à l’assaut des épreuves depuis lundi.
"Aucun fait majeur n’a entravé le déroulement de la composition après le lancement des épreuves par les autorités préfectorales", ont indiqué les présidents de jury des centres du lycée municipal et du collège moderne, Saki Justin et Pita Bogui.
A Zuénoula, ce sont 1.570 candidats qui sont concernés cette année par le bac, contre 2.000 candidats à Toumodi où les organisateurs ont misé sur la "sécurité dissuasive" avec la présence "remarquable" des forces de sécurité qui interdisent l’entrée à toute personne étrangère aux examens.
En plus du dispositif sécuritaire, il y a un dispositif sanitaire avec l’unité mobile de l’hôpital général de Toumodi qui sillonne les centres d’examen à bord d’une ambulance, a constaté l’AIP.
(AIP)
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