San Pedro – L’usine de transformation de cacao, ‘’Ivory cocoa products’’, ICP Côte d’Ivoire, employant environ 200 travailleurs, a arrêté ses activités depuis vendredi, suite à l’effondrement d’un grand pan de sa clôture sous la pression des eaux du fleuve San Pedro en crue, dans les alentours duquel l'usine est implantée, a constaté lundi l’AIP.
Les eaux avaient atteint une hauteur de plus d’un mètre, emportant, selon le directeur de ICP, El Khalil Hamed, plusieurs quantités de sa production et des sacs de cacao.
Il a expliqué que l’inondation a été provoquée par le mauvais état de la voie séparant son usine et une autre, de sorte que les eaux du fleuve en crue ont vite débordé et ont fait céder une partie du mur de la clôture. L’eau a pris aussitôt toute l’usine vendredi jusqu’à hauteur des hanches.
El Khalil s’efforçait lundi dans la matinée, avec ses hommes et des volontaires, d’aspirer l’eau à l’aide de machines-aspirateurs, et d'ériger des digues à l’aide de sacs de sables.
Il a expliqué ne pas être en mesure pour l’instant d’évaluer les pertes subies parce que n’ayant pas encore pu faire l’état des dégâts, du fait des difficultés d’accès à l’usine avec la présence continue de l’eau partout même dans la salle des machines.
"C’est une catastrophe, c’est tout ce que je peux dire", a déclaré le directeur de l’usine.
Il a indiqué que son usine emploie à plein temps 57 travailleurs. Avec les contractuels et autres partenaires réguliers de l’usine, l’on peut estimer à 200 travailleurs les personnes qui dépendent de cette usine, a indiqué un fournisseur, Attié Anouar.
L’on ne sait pour le moment à quand la reprise du travail dans cette usine de transformation du cacao en masse, beurre et poudre, pour le marché local et l’exportation.
(AIP)
jmk/ask
Les eaux avaient atteint une hauteur de plus d’un mètre, emportant, selon le directeur de ICP, El Khalil Hamed, plusieurs quantités de sa production et des sacs de cacao.
Il a expliqué que l’inondation a été provoquée par le mauvais état de la voie séparant son usine et une autre, de sorte que les eaux du fleuve en crue ont vite débordé et ont fait céder une partie du mur de la clôture. L’eau a pris aussitôt toute l’usine vendredi jusqu’à hauteur des hanches.
El Khalil s’efforçait lundi dans la matinée, avec ses hommes et des volontaires, d’aspirer l’eau à l’aide de machines-aspirateurs, et d'ériger des digues à l’aide de sacs de sables.
Il a expliqué ne pas être en mesure pour l’instant d’évaluer les pertes subies parce que n’ayant pas encore pu faire l’état des dégâts, du fait des difficultés d’accès à l’usine avec la présence continue de l’eau partout même dans la salle des machines.
"C’est une catastrophe, c’est tout ce que je peux dire", a déclaré le directeur de l’usine.
Il a indiqué que son usine emploie à plein temps 57 travailleurs. Avec les contractuels et autres partenaires réguliers de l’usine, l’on peut estimer à 200 travailleurs les personnes qui dépendent de cette usine, a indiqué un fournisseur, Attié Anouar.
L’on ne sait pour le moment à quand la reprise du travail dans cette usine de transformation du cacao en masse, beurre et poudre, pour le marché local et l’exportation.
(AIP)
jmk/ask