Abidjan - La Bourse régionale des valeurs mobilières d’Abidjan (BRVM) vise 200 milliards F CFA pour l’exercice 2014 à travers l’admission de nouvelles sociétés aux 1er et 2ème compartiment, contre 193 milliards de F CFA en 2013, a déclaré, mercredi, le Directeur général de l’institution, Edoh Kossi Amenouve .
Selon le directeur général de la Bourse, Edoh Kossi Amenouve qui s’exprimait lors d’une rencontre dénommée « Media Day », ou « Journée des Médias » visant à améliorer et à renforcer la diffusion de l’information boursière par la presse, la BRVM s’emploiera non seulement à avoir de «nouvelles sociétés et voir des actions de privatisation passer par le marché de la BRVM », mais également à «parler directement» aux entreprises.
«Il nous faut sensibiliser les entreprises sur le fait qu’il ne faut pas être en dessous des standards internationaux. Car si elles ne sont pas cotées en bourse, elles ne seront pas crédibles car on dira qu’elles n’exercent pas dans la transparence ni dans la bonne gouvernance », a-t-il expliqué.
L’entreprise cotée en bourse, poursuit M. Amenouve, assure sa pérennité ajoutant que l’époque de l’entreprise familiale est « dépassée » pour faire place à un « actionnariat diversifié ».
La BRVM connait, de l’avis de son directeur général, de janvier à juin 2014, un ralentissement lié au phénomène mondial de regain d’activités sur le marché mondial.
« Les investisseurs internationaux font 51% de transaction sur notre marché. Ces derniers ont eu des opportunités plus intéressantes sur d’autres marchés avec la reprise de l’économie en Europe et aux Etats-Unis ce qui les a amené à marquer un ralentissement sur les marchés émergents », a fait remarquer Edoh Kossi Amenouve.
Comme solution pour s’affranchir des mouvements des investisseurs internationaux, M. Amenouve préconise « le développement institutionnel local et l’épargne individuel ».
« A ce jour, 51% des investisseurs de la BRVM ne sont pas résidents de l’espace de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), d’où l’insistance pour le développement d’une épargne locale suffisante » a-t-il conseillé.
A de la rencontre « Media Day », le directeur général de la BRVM a souligné que « l’information joue un rôle primordial dans les relations économiques et sociales. Elle gouverne les marchés financiers car elle permet de formuler des anticipations sur l’évolution du prix des sociétés cotées et d’effectuer les transactions ».
Un concours de cas pratique portant sur le thème « dividende : Rémunération de l’actionnaire » et mettant en compétition des organes de presse exerçant en Côte d’Ivoire, a été remporté par la presse en ligne ivoirienne. A ce jour, 37 sociétés sont cotées en bourse à la Brvm et 34 émettent sur le marché des obligations.
SB/hs/ls/ APA
Selon le directeur général de la Bourse, Edoh Kossi Amenouve qui s’exprimait lors d’une rencontre dénommée « Media Day », ou « Journée des Médias » visant à améliorer et à renforcer la diffusion de l’information boursière par la presse, la BRVM s’emploiera non seulement à avoir de «nouvelles sociétés et voir des actions de privatisation passer par le marché de la BRVM », mais également à «parler directement» aux entreprises.
«Il nous faut sensibiliser les entreprises sur le fait qu’il ne faut pas être en dessous des standards internationaux. Car si elles ne sont pas cotées en bourse, elles ne seront pas crédibles car on dira qu’elles n’exercent pas dans la transparence ni dans la bonne gouvernance », a-t-il expliqué.
L’entreprise cotée en bourse, poursuit M. Amenouve, assure sa pérennité ajoutant que l’époque de l’entreprise familiale est « dépassée » pour faire place à un « actionnariat diversifié ».
La BRVM connait, de l’avis de son directeur général, de janvier à juin 2014, un ralentissement lié au phénomène mondial de regain d’activités sur le marché mondial.
« Les investisseurs internationaux font 51% de transaction sur notre marché. Ces derniers ont eu des opportunités plus intéressantes sur d’autres marchés avec la reprise de l’économie en Europe et aux Etats-Unis ce qui les a amené à marquer un ralentissement sur les marchés émergents », a fait remarquer Edoh Kossi Amenouve.
Comme solution pour s’affranchir des mouvements des investisseurs internationaux, M. Amenouve préconise « le développement institutionnel local et l’épargne individuel ».
« A ce jour, 51% des investisseurs de la BRVM ne sont pas résidents de l’espace de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), d’où l’insistance pour le développement d’une épargne locale suffisante » a-t-il conseillé.
A de la rencontre « Media Day », le directeur général de la BRVM a souligné que « l’information joue un rôle primordial dans les relations économiques et sociales. Elle gouverne les marchés financiers car elle permet de formuler des anticipations sur l’évolution du prix des sociétés cotées et d’effectuer les transactions ».
Un concours de cas pratique portant sur le thème « dividende : Rémunération de l’actionnaire » et mettant en compétition des organes de presse exerçant en Côte d’Ivoire, a été remporté par la presse en ligne ivoirienne. A ce jour, 37 sociétés sont cotées en bourse à la Brvm et 34 émettent sur le marché des obligations.
SB/hs/ls/ APA