La première édition de la Conférence mondiale sur le cacao (WCC1) s’est déroulée à Abidjan, en Côte d’Ivoire, du 19 au 23 novembre 2012.
Les participants ont adopté l’Agenda global du cacao, soulignant les principaux défis auxquels le secteur cacaoyer est confronté, la stratégie et les acteurs les mieux indiqués pour les relever. En outre, les principales parties prenantes du secteur cacaoyer, comprenant gouvernements, producteurs, transformateurs, exportateurs, négociants, chocolatiers et organisations de la société civile, ont signé la Déclaration d’Abidjan sur le cacao, qui exprime l’engagement des signataires à collaborer étroitement pour opérer des changements majeurs dans le secteur du cacao. L’Agenda et la Déclaration visent à mettre l’ensemble du secteur sur la voie du développement durable, bénéficiant à tous les acteurs de la chaîne de valeur du cacao.
Ainsi, l’objectif de la deuxième Conférence mondiale sur le cacao (WCC2) qui s’est tenue du 9 au 13 juin 2014 à Amsterdam, aux Pays-Bas, a été d’examiner les progrès réalisés par les parties prenantes dans la mise en œuvre de l’Agenda global du cacao adopté à Abidjan, d’identifier les opportunités et les obstacles à l’application des recommandations et de déterminer les indicateurs et les échéances pour tracer la voie à suivre.
Les thématiques de la 2ème Conférence se sont axées sur le développement du producteur en tant qu’entrepreneur et les moyens de faire de la cacaoculture un métier prospère et durable pour la jeune génération.
Le Directeur Général du Conseil du Café-Cacao, Madame Massandjé TOURE-LITSE, a interpellé tous les acteurs de la filière présents sur les points suivants :
- L’amélioration des prix pour les producteurs : L’amélioration des conditions de vie de producteurs rime avec amélioration de la productivité ET nécessairement amélioration des prix ;
- La promotion du genre dans la cacaoculture : Il est important de mettre l’accent sur les femmes productrices et les épouses des producteurs en les accompagnant à entreprendre des activités génératrices de revenus car une femme qui a un revenu stable, c’est toute une communauté qui en bénéficie à commencer par les enfants qui seront scolarisés ;
- La relève par une jeune génération de producteurs-entrepreneurs, ayant un accès au financement et pour lesquels la pénibilité du travail sera réduite grâce à la mécanisation des équipements et outils.
- Une implication plus importante du secteur privé dans le volet développement communautaire en cofinançant la construction d’écoles, de centres de santé et de puits.
Au cours d’un dîner offert par l’ICCO aux participants, le mercredi 11 juin 2014, au 17th Century Maritime Museum à Amsterdam, trois pays producteurs de cacao ont été honorés :
- Un prix a été décerné au meilleur producteur du Ghana ;
- Un autre prix à l’Equateur pour avoir amené les experts impliqués dans les travaux sur le Cadmium à trouver un consensus ;
- Et enfin, un prix à la Côte d’Ivoire pour avoir été la locomotive dans la mise en œuvre des plans nationaux de développement de la filière et des Plateformes de Partenariat Public-Privé.
La 2ème Conférence mondiale sur le cacao s’est terminée par la Déclaration d’Amsterdam sur le cacao qui a recensé les progrès parcourus depuis la Déclaration d’Abidjan et identifié les actions prioritaires à mettre en œuvre, qui pourraient permettre à tous les acteurs de la chaîne de valeur du cacao d’en partager les bénéfices de manière équitable.
La 3ème Conférence mondiale sur le cacao ((WCC3) se déroulera en 2016, en République Dominicaine.
Les participants ont adopté l’Agenda global du cacao, soulignant les principaux défis auxquels le secteur cacaoyer est confronté, la stratégie et les acteurs les mieux indiqués pour les relever. En outre, les principales parties prenantes du secteur cacaoyer, comprenant gouvernements, producteurs, transformateurs, exportateurs, négociants, chocolatiers et organisations de la société civile, ont signé la Déclaration d’Abidjan sur le cacao, qui exprime l’engagement des signataires à collaborer étroitement pour opérer des changements majeurs dans le secteur du cacao. L’Agenda et la Déclaration visent à mettre l’ensemble du secteur sur la voie du développement durable, bénéficiant à tous les acteurs de la chaîne de valeur du cacao.
Ainsi, l’objectif de la deuxième Conférence mondiale sur le cacao (WCC2) qui s’est tenue du 9 au 13 juin 2014 à Amsterdam, aux Pays-Bas, a été d’examiner les progrès réalisés par les parties prenantes dans la mise en œuvre de l’Agenda global du cacao adopté à Abidjan, d’identifier les opportunités et les obstacles à l’application des recommandations et de déterminer les indicateurs et les échéances pour tracer la voie à suivre.
Les thématiques de la 2ème Conférence se sont axées sur le développement du producteur en tant qu’entrepreneur et les moyens de faire de la cacaoculture un métier prospère et durable pour la jeune génération.
Le Directeur Général du Conseil du Café-Cacao, Madame Massandjé TOURE-LITSE, a interpellé tous les acteurs de la filière présents sur les points suivants :
- L’amélioration des prix pour les producteurs : L’amélioration des conditions de vie de producteurs rime avec amélioration de la productivité ET nécessairement amélioration des prix ;
- La promotion du genre dans la cacaoculture : Il est important de mettre l’accent sur les femmes productrices et les épouses des producteurs en les accompagnant à entreprendre des activités génératrices de revenus car une femme qui a un revenu stable, c’est toute une communauté qui en bénéficie à commencer par les enfants qui seront scolarisés ;
- La relève par une jeune génération de producteurs-entrepreneurs, ayant un accès au financement et pour lesquels la pénibilité du travail sera réduite grâce à la mécanisation des équipements et outils.
- Une implication plus importante du secteur privé dans le volet développement communautaire en cofinançant la construction d’écoles, de centres de santé et de puits.
Au cours d’un dîner offert par l’ICCO aux participants, le mercredi 11 juin 2014, au 17th Century Maritime Museum à Amsterdam, trois pays producteurs de cacao ont été honorés :
- Un prix a été décerné au meilleur producteur du Ghana ;
- Un autre prix à l’Equateur pour avoir amené les experts impliqués dans les travaux sur le Cadmium à trouver un consensus ;
- Et enfin, un prix à la Côte d’Ivoire pour avoir été la locomotive dans la mise en œuvre des plans nationaux de développement de la filière et des Plateformes de Partenariat Public-Privé.
La 2ème Conférence mondiale sur le cacao s’est terminée par la Déclaration d’Amsterdam sur le cacao qui a recensé les progrès parcourus depuis la Déclaration d’Abidjan et identifié les actions prioritaires à mettre en œuvre, qui pourraient permettre à tous les acteurs de la chaîne de valeur du cacao d’en partager les bénéfices de manière équitable.
La 3ème Conférence mondiale sur le cacao ((WCC3) se déroulera en 2016, en République Dominicaine.