Décédé le 9 juin dernier à Paris, des suites d’un accident vasculaire cardiaque (Avc), Bernard Cardinal Agré, a été inhumé, vendredi, à la Cathédrale Saint-Paul du Plateau, quartier administratif et des affaires d’Abidjan.
Avant la mise en bière du deuxième Cardinal ivoirien, l’Archevêque Métropolitain de Ouagadougou, Philippe Cardinal Ouédraogo a conduit la messe de requiem à la Paroisse Sainte Ambroise du Jubilé de Cocody-Angré en présence du Premier ministre Daniel Kablan Duncan et du directeur du cabinet du Président de la République, Marcel Amon Tano.
Dans son message de condoléance adressé à l’Eglise catholique, l’Archevêque de Dakar, Président de la Conférence Episcopale régionale de l’Afrique de l’Ouest (CERAO), Théodore Adrien Cardinal Sarr (absent pour des raisons d’ordination sacerdotale et diagonale à Dakar) a souligné que la disparition de Cardinal est une grande perte pour le « peuple de Dieu ».
« Le Cardinal Agré a été à la fois un partisan actif, un promoteur ingénieux et un serviteur généreux de la Conférence Episcopale Régionale de l’Afrique de l’Ouest. Il croyait à la CERAO, ses contributions sont très importantes pour l’institution » », a relevé Adrien Cardinal Sarr, au cours du rite d’inhumation conduit par Mgr Alexis Touabli, Evêque d’Agboville sur le parvis de la cathédrale St-Paul.
L’Archevêque de Dakar a exhorté les fidèles à rendre gloire à Dieu pour le don que Cardinal Agré a été, pour l’Eglise locale et universelle du Christ, le peuple de Dieu.
Pour Mgr Marie Daniel Dadié, c’est certes « une grande perte » mais « la volonté de Dieu a été faite en le rappelant à ses côtés », saluant la mémoire de ce « grand homme de Dieu » qui repose désormais auprès du « Cardinal Yago, le premier cardinal ivoirien qui constituait avec Cardinal Agré les deux piliers de notre Eglise » a rappelé, pour sa part, Mgr Boniface Ziri, Evêque d’Abengourou avant de s’inquiéter pour le « lourd héritage » laissé par Cardinal Agré.
Né à Monga, dans le diocèse d’Abidjan, Bernard Agré est baptisé à six ans à Memni (village après Grand-Bassam) où il reçoit son instruction primaire de 1936 à 1941.
Il continue sa scolarité au petit séminaire de Bingerville de 1941 à 1947 avant d’entrer au grand séminaire de la même ville pour ses études de philosophie de 1947 à 1948. Il part ensuite à Ouidah au Dahomey (actuel Bénin) où il suit des études de théologie de 1948 à 1953.
Avant la mise en bière du deuxième Cardinal ivoirien, l’Archevêque Métropolitain de Ouagadougou, Philippe Cardinal Ouédraogo a conduit la messe de requiem à la Paroisse Sainte Ambroise du Jubilé de Cocody-Angré en présence du Premier ministre Daniel Kablan Duncan et du directeur du cabinet du Président de la République, Marcel Amon Tano.
Dans son message de condoléance adressé à l’Eglise catholique, l’Archevêque de Dakar, Président de la Conférence Episcopale régionale de l’Afrique de l’Ouest (CERAO), Théodore Adrien Cardinal Sarr (absent pour des raisons d’ordination sacerdotale et diagonale à Dakar) a souligné que la disparition de Cardinal est une grande perte pour le « peuple de Dieu ».
« Le Cardinal Agré a été à la fois un partisan actif, un promoteur ingénieux et un serviteur généreux de la Conférence Episcopale Régionale de l’Afrique de l’Ouest. Il croyait à la CERAO, ses contributions sont très importantes pour l’institution » », a relevé Adrien Cardinal Sarr, au cours du rite d’inhumation conduit par Mgr Alexis Touabli, Evêque d’Agboville sur le parvis de la cathédrale St-Paul.
L’Archevêque de Dakar a exhorté les fidèles à rendre gloire à Dieu pour le don que Cardinal Agré a été, pour l’Eglise locale et universelle du Christ, le peuple de Dieu.
Pour Mgr Marie Daniel Dadié, c’est certes « une grande perte » mais « la volonté de Dieu a été faite en le rappelant à ses côtés », saluant la mémoire de ce « grand homme de Dieu » qui repose désormais auprès du « Cardinal Yago, le premier cardinal ivoirien qui constituait avec Cardinal Agré les deux piliers de notre Eglise » a rappelé, pour sa part, Mgr Boniface Ziri, Evêque d’Abengourou avant de s’inquiéter pour le « lourd héritage » laissé par Cardinal Agré.
Né à Monga, dans le diocèse d’Abidjan, Bernard Agré est baptisé à six ans à Memni (village après Grand-Bassam) où il reçoit son instruction primaire de 1936 à 1941.
Il continue sa scolarité au petit séminaire de Bingerville de 1941 à 1947 avant d’entrer au grand séminaire de la même ville pour ses études de philosophie de 1947 à 1948. Il part ensuite à Ouidah au Dahomey (actuel Bénin) où il suit des études de théologie de 1948 à 1953.