Korhogo – La directrice centrale de l’Office d’aide à la Commercialisation des Produits Vivriers (OCPV), Moh Constance Viviane annonce le début de délivrance du "certificat de provenance" à partir du 1er aout dans la commercialisation du vivier, en vue de contribuer à lutter contre la vie chère, surtout que ce document va permettre de réduire les tracasseries routières.
Mme Moh a fait cette annonce vendredi, lors d’une rencontre à la salle de conférence de la préfecture de Korhogo (Nord), avec les acteurs de la filière du vivrier, autour du nouveau mode opératoire du certificat de provenance qui est un document pour la commercialisation des produits vivriers.
"Désormais, si un commerçant dispose du certificat de provenance, il passera tout les corridors jusqu’au déchargement" sans tracasserie, a-t-elle déclaré, avant d’ajouter : « si vous être obligés de payer 25 000 FCFA, 30 000 FCFA des tracasseries routières, vous êtes obligés de récupérer cet argent-là quelque part ; et cela se répercute sur les produits et les denrées à la consommation ».
Les prix du certificat de provenance, considéré comme un laissez-passer, varient selon le tonnage. De 0 à 1 tonne l’on paie 500 FCFA. De 1,1 à 5 tonnes le commerçant paie 1500, et de 5,1 tonne à plus à 3000. Pour l’import et l’export, le prix est de 5000 FCFA quelques soit le tonnage.
L’objectif de ce certificat, selon Mme Moh est surtout « d’empêcher les consommateurs de faire la surenchère sur les marchés de consommation».
Le certificat de provenance se délivre dans les locaux de l’OCPV. Pour les villes qui n’en n’ont pas encore, les commerçants peuvent se faire établir ce document à l’ANADER ou à la représentation locale du ministère de l’Agriculture. Les frais de paiement se font dans les agences de Caisse d’Epargne et de Crédit.
Le directeur de l’Union des coopératives du vivrier du district des Savanes, Emanuel Sékongo, s’est dit très satisfait de l’instauration du certificat de provenance, qui va constituer « une bouffée d’oxygène » pour les commerçants, mais aussi les clients. Cependant, il a souhaité une plus de disponibilité des agents de l’OCPV.
Avant Korhogo, la responsable de l’OPCV était à Abengourou, Yamoussoukro et Bouaké. Le cap sera mis sur Gagnoa pour la prochaine campagne de sensibilisation des acteurs de la filière.
Cette réunion a été présidée par le préfet de région des Savanes, Daouda Ouattara.
apk/tm
Mme Moh a fait cette annonce vendredi, lors d’une rencontre à la salle de conférence de la préfecture de Korhogo (Nord), avec les acteurs de la filière du vivrier, autour du nouveau mode opératoire du certificat de provenance qui est un document pour la commercialisation des produits vivriers.
"Désormais, si un commerçant dispose du certificat de provenance, il passera tout les corridors jusqu’au déchargement" sans tracasserie, a-t-elle déclaré, avant d’ajouter : « si vous être obligés de payer 25 000 FCFA, 30 000 FCFA des tracasseries routières, vous êtes obligés de récupérer cet argent-là quelque part ; et cela se répercute sur les produits et les denrées à la consommation ».
Les prix du certificat de provenance, considéré comme un laissez-passer, varient selon le tonnage. De 0 à 1 tonne l’on paie 500 FCFA. De 1,1 à 5 tonnes le commerçant paie 1500, et de 5,1 tonne à plus à 3000. Pour l’import et l’export, le prix est de 5000 FCFA quelques soit le tonnage.
L’objectif de ce certificat, selon Mme Moh est surtout « d’empêcher les consommateurs de faire la surenchère sur les marchés de consommation».
Le certificat de provenance se délivre dans les locaux de l’OCPV. Pour les villes qui n’en n’ont pas encore, les commerçants peuvent se faire établir ce document à l’ANADER ou à la représentation locale du ministère de l’Agriculture. Les frais de paiement se font dans les agences de Caisse d’Epargne et de Crédit.
Le directeur de l’Union des coopératives du vivrier du district des Savanes, Emanuel Sékongo, s’est dit très satisfait de l’instauration du certificat de provenance, qui va constituer « une bouffée d’oxygène » pour les commerçants, mais aussi les clients. Cependant, il a souhaité une plus de disponibilité des agents de l’OCPV.
Avant Korhogo, la responsable de l’OPCV était à Abengourou, Yamoussoukro et Bouaké. Le cap sera mis sur Gagnoa pour la prochaine campagne de sensibilisation des acteurs de la filière.
Cette réunion a été présidée par le préfet de région des Savanes, Daouda Ouattara.
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