Abidjan - Signé le 27 juin, l’accord de partenariat entre la Croix-Rouge Côte d’Ivoire et le Lion’s Club a officiellement démarré samedi, deux semaines après, par la distribution de vivres et non-vivres à plusieurs centaines de ménages sinistrés par les pluies diluviennes qui se sont abattues en juin sur le Sud du pays.
Cette première action humanitaire concernait aussi bien des victimes d’Abidjan que de Grand-Lahou, Sassandra et Fresco.
A Abidjan, quelque 500 ménages d’Anonkoua-Kouté et d’Abobo Baoulé, dans la commune d’Abobo, ont reçu des produits de première nécessité, des nattes, du riz, des savons, de l’huile d’une valeur de 10 millions de FCFA.
Heureuse du soutien du Lion’s Club, la vice-présidente du comité national de la Croix-Rouge de Côte d’Ivoire (CRCI), Souaré Koné Karidiata, a dit la bonne disposition de son organisation à traviller de concert avec le Lion’s Club parce que « la CRCI ne peut constituer à elle seule une solution durable et permanente ».
« Je vous remercie d’avoir trouvé en vous le temps et les ressources nécessaires pour soulager des personnes en détresse », a-t-elle dit, se réjouissant du partenariat qui est désormais « une réalité ».
Cette action humanitaire entre dans le cadre normal des activités de secours d’urgance du CICR et coïncide avec la vision de solidarité et d’entraide pronée par le Lion’s Club, a-t-elle ajouté.
Au nom du Lion’s Club, la présidente de la zone 311, la magistrate Béatrice Guiraud a adressé ses encouragements aux victimes.
« Chaque épreuve difficile porte en elle les germes d’un changement pour un avenir meilleur », a-t-elle adressé aux victimes des inondations, « une catastrophe qui restera gravée dans les mémoires individuelles et collectives ».
Une victime, Youan-Bi Djè Marcel, s’est réjoui de cette assistance mais a souhaité que l’Etat réalise les travaux de drainage des eaux qui continuenrt de stagner des certains quartiers.
L’Office national de la protection civile (ONPC) a annoncé samedi que le bilan des inondations s’établissait à 39 morts en plus des dégâts matériels. Le gouvernement a par ailleurs rasé certains site dangereux, dont un bidonville d’Attécoubé, où les habitants étaient toujours en place malgré une campagne de sensibilisation les invitant à quitter les lieux, ne serait-ce qu’en cette saison pluvieuse, exceptionnelle cette année.
aaa/tm
Cette première action humanitaire concernait aussi bien des victimes d’Abidjan que de Grand-Lahou, Sassandra et Fresco.
A Abidjan, quelque 500 ménages d’Anonkoua-Kouté et d’Abobo Baoulé, dans la commune d’Abobo, ont reçu des produits de première nécessité, des nattes, du riz, des savons, de l’huile d’une valeur de 10 millions de FCFA.
Heureuse du soutien du Lion’s Club, la vice-présidente du comité national de la Croix-Rouge de Côte d’Ivoire (CRCI), Souaré Koné Karidiata, a dit la bonne disposition de son organisation à traviller de concert avec le Lion’s Club parce que « la CRCI ne peut constituer à elle seule une solution durable et permanente ».
« Je vous remercie d’avoir trouvé en vous le temps et les ressources nécessaires pour soulager des personnes en détresse », a-t-elle dit, se réjouissant du partenariat qui est désormais « une réalité ».
Cette action humanitaire entre dans le cadre normal des activités de secours d’urgance du CICR et coïncide avec la vision de solidarité et d’entraide pronée par le Lion’s Club, a-t-elle ajouté.
Au nom du Lion’s Club, la présidente de la zone 311, la magistrate Béatrice Guiraud a adressé ses encouragements aux victimes.
« Chaque épreuve difficile porte en elle les germes d’un changement pour un avenir meilleur », a-t-elle adressé aux victimes des inondations, « une catastrophe qui restera gravée dans les mémoires individuelles et collectives ».
Une victime, Youan-Bi Djè Marcel, s’est réjoui de cette assistance mais a souhaité que l’Etat réalise les travaux de drainage des eaux qui continuenrt de stagner des certains quartiers.
L’Office national de la protection civile (ONPC) a annoncé samedi que le bilan des inondations s’établissait à 39 morts en plus des dégâts matériels. Le gouvernement a par ailleurs rasé certains site dangereux, dont un bidonville d’Attécoubé, où les habitants étaient toujours en place malgré une campagne de sensibilisation les invitant à quitter les lieux, ne serait-ce qu’en cette saison pluvieuse, exceptionnelle cette année.
aaa/tm
