Abidjan (Côte d’Ivoire) - La visite officielle du chef de l’Etat français, François Hollande, le 17 juillet, en Côte d’Ivoire, est un soutien à l’œuvre de reconstruction de Ouattara, indique un communiqué du Rassemblement des républicains (RDR, au pouvoir), transmis, dimanche, à APA.
« Le Président français, François Hollande vient en Côte d’Ivoire pour renforcer l’amitié qui a toujours existé entre la Côte d’Ivoire et la France. Il vient pour apporter son soutien à l’œuvre de reconstruction et de réconciliation entreprise avec succès par le Président Alassane Ouattara », lit-on dans le communiqué signé par Joël N’guessan, Porte-parole du RDR.
Selon M. N’guessan, François Hollande vient, également, pour constater, par lui-même, « l’excellent travail de redressement économique » accompli par le gouvernement ivoirien.
« Le Président de la France, pays de la liberté et des Droits de l’Homme ne vient pas en Côte d’Ivoire pour se préoccuper du sort de personnes qui ont commis des crimes odieux pendant notre crise postélectorale », soutient Joël N’guessan.
Pour le RDR, ce n’est pas M. Hollande qui, en son temps, avait dit que Laurent Gbagbo n’était pas « fréquentable » qui va changer d’avis après « les milliers de morts » de la crise postélectorale pour « plaider » la cause « des bourreaux d’hier ».
« Le Président français, François Hollande vient en Côte d’Ivoire pour renforcer l’amitié qui a toujours existé entre la Côte d’Ivoire et la France. Il vient pour apporter son soutien à l’œuvre de reconstruction et de réconciliation entreprise avec succès par le Président Alassane Ouattara », lit-on dans le communiqué signé par Joël N’guessan, Porte-parole du RDR.
Selon M. N’guessan, François Hollande vient, également, pour constater, par lui-même, « l’excellent travail de redressement économique » accompli par le gouvernement ivoirien.
« Le Président de la France, pays de la liberté et des Droits de l’Homme ne vient pas en Côte d’Ivoire pour se préoccuper du sort de personnes qui ont commis des crimes odieux pendant notre crise postélectorale », soutient Joël N’guessan.
Pour le RDR, ce n’est pas M. Hollande qui, en son temps, avait dit que Laurent Gbagbo n’était pas « fréquentable » qui va changer d’avis après « les milliers de morts » de la crise postélectorale pour « plaider » la cause « des bourreaux d’hier ».