Abidjan - Le président l’Organisation non gouvernementale (ONG) Club Union Africaine Côte d’Ivoire, Victor Naclan a déclaré, lundi, dans un entretien à APA, que 15 villages ivoiriens seront délimités pour l’exploitation et l’extraction du diamant pour améliorer l’activité économique dans ces localités.
« Nous avons pour action véritable, l’immatriculation des terres, des zones minières concernées par le projet. Nous aurons à mener des actions de délimitation des terroirs, des villages et également d’immatriculation des terres. Le projet prévoit de délimiter quinze villages », a-t-il indiqué en marge du lancement du projet Droits de propriété et développement du diamant artisanal (DPDDA II).
Le projet DPDDA II est une initiative cofinancée par le gouvernement des Etats-Unis, à travers l’Agence américaine pour le développement international (USAID) et l’Union européenne.
Selon Terrah DeJong, le directeur national du projet, DPDDA II vise un double objectif à savoir « augmenter le volume de diamants légalement exportés et améliorer les conditions de vie » des communautés minières.
M. Naclan a souligné que cette opération est avant tout, un processus qui part de la formation des acteurs principaux de cette exploitation jusqu’à la sensibilisation des leaders communautaires.
« Nous allons dans un premier temps nous attaquer à la formation des acteurs de ce projet, cibler les acteurs principaux avant les véritables cibles que sont les comités de villages et les leaders communautaires », a-t-il expliqué.
Selon Victor Naclan, l’ONG qu’il dirige, entamera une phase de sensibilisation pour amener les acteurs à comprendre « la nécessité de la délimitation des territoires villageois.
« C’est au vu de tout cela que nous allons mener cette action conjointement avec des opérateurs techniques, comme des géomètres experts sans exclure le ministère de l’agriculture et la Sodemi qui encadre les artisans miniers », a-t-il précisé.
SB/hs/ls/APA
« Nous avons pour action véritable, l’immatriculation des terres, des zones minières concernées par le projet. Nous aurons à mener des actions de délimitation des terroirs, des villages et également d’immatriculation des terres. Le projet prévoit de délimiter quinze villages », a-t-il indiqué en marge du lancement du projet Droits de propriété et développement du diamant artisanal (DPDDA II).
Le projet DPDDA II est une initiative cofinancée par le gouvernement des Etats-Unis, à travers l’Agence américaine pour le développement international (USAID) et l’Union européenne.
Selon Terrah DeJong, le directeur national du projet, DPDDA II vise un double objectif à savoir « augmenter le volume de diamants légalement exportés et améliorer les conditions de vie » des communautés minières.
M. Naclan a souligné que cette opération est avant tout, un processus qui part de la formation des acteurs principaux de cette exploitation jusqu’à la sensibilisation des leaders communautaires.
« Nous allons dans un premier temps nous attaquer à la formation des acteurs de ce projet, cibler les acteurs principaux avant les véritables cibles que sont les comités de villages et les leaders communautaires », a-t-il expliqué.
Selon Victor Naclan, l’ONG qu’il dirige, entamera une phase de sensibilisation pour amener les acteurs à comprendre « la nécessité de la délimitation des territoires villageois.
« C’est au vu de tout cela que nous allons mener cette action conjointement avec des opérateurs techniques, comme des géomètres experts sans exclure le ministère de l’agriculture et la Sodemi qui encadre les artisans miniers », a-t-il précisé.
SB/hs/ls/APA