La mairie de Lakota (Sud-ouest, région du Loh-Djiboua) a entrepris depuis deux semaines, des travaux d’assainissement qui visent à améliorer la circulation dans la commune après les pluies diluviennes qui ont dégradé les rues.
Selon le 1er adjoint au maire, Kouadio Konan, il s’agit premièrement d’une opération de curage des caniveaux qui ont été bouchés par la terre charriée par les eaux de ruissèlement et les ordures.
"Il fallait les déboucher pour empêcher que les eaux de pluie endommagent davantage la chaussée", a expliqué M. Kouadio Konan qui a ajouté qu’à ce jour trois kilomètres de caniveaux ont été curés.
M. Kouadio a fait savoir en outre que la mairie entreprend également de recharger à l’aide de gravats et de terre, certaines rues sur "lesquelles il était devenu impossible de circuler". Il s’agit entre autres de la rue principale qui part du grand carrefour au centre ville, des rues reliant les quartiers résidentiels Dakouri ou Dioulabougou et du traitement du point critique sur la rivière Dayorogoli à "l’aide également de gravats et de terre graveleuse".
"La véritable solution réside dans la construction d’un dalot sur la rivière Dayorogoli et le bitumage des principales rues de la ville. Mais ce type de travaux est hors de portée du budget de la commune", a-t-il conclu.
gy/amak/kam
Selon le 1er adjoint au maire, Kouadio Konan, il s’agit premièrement d’une opération de curage des caniveaux qui ont été bouchés par la terre charriée par les eaux de ruissèlement et les ordures.
"Il fallait les déboucher pour empêcher que les eaux de pluie endommagent davantage la chaussée", a expliqué M. Kouadio Konan qui a ajouté qu’à ce jour trois kilomètres de caniveaux ont été curés.
M. Kouadio a fait savoir en outre que la mairie entreprend également de recharger à l’aide de gravats et de terre, certaines rues sur "lesquelles il était devenu impossible de circuler". Il s’agit entre autres de la rue principale qui part du grand carrefour au centre ville, des rues reliant les quartiers résidentiels Dakouri ou Dioulabougou et du traitement du point critique sur la rivière Dayorogoli à "l’aide également de gravats et de terre graveleuse".
"La véritable solution réside dans la construction d’un dalot sur la rivière Dayorogoli et le bitumage des principales rues de la ville. Mais ce type de travaux est hors de portée du budget de la commune", a-t-il conclu.
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