Quelque 553 personnes, dont 160 femmes et 393 hommes, ont été auditionnées à Abengourou dans le cadre de l’identification des victimes des crises sociopolitiques qui ont secouée la Côte d’Ivoire de 1990 à 2011.
Le secrétaire de la commission dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) locale, Yacouba Yéo, qui a révélé ces chiffres lundi lors d’un point de presse, plaide pour la prolongation de la date limite de cette opération fixée au 24 juillet 2014.
"Des difficultés d’ordre logistique et financier, rencontrées dans les deux premiers mois de l’opération, ne nous ont pas permis d’atteindre le maximum de victimes. Maintenant que ces difficultés sont aplanies, nous souhaitons une prolongation du délai pour nous permettre de faire mieux", a-t-il plaidé.
M. Yéo a, par ailleurs, invité les victimes, témoins et toutes les personnes concernées par les évènements sociopolitiques de 1990 à 2011 à se présenter à eux ou à recevoir les enquêteurs en vue de faire leurs dépositions.
"J’invite tous ceux qui ont été touchés par les crises successives qu’a connues notre pays de 1990 à 2011 à venir dire ce qu’ils ont subi", a-t-il lancé, soulignant l’importance de cette phase d’identification des victimes qui sera suivie de celle de la réparation.
rkk/ask
Le secrétaire de la commission dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) locale, Yacouba Yéo, qui a révélé ces chiffres lundi lors d’un point de presse, plaide pour la prolongation de la date limite de cette opération fixée au 24 juillet 2014.
"Des difficultés d’ordre logistique et financier, rencontrées dans les deux premiers mois de l’opération, ne nous ont pas permis d’atteindre le maximum de victimes. Maintenant que ces difficultés sont aplanies, nous souhaitons une prolongation du délai pour nous permettre de faire mieux", a-t-il plaidé.
M. Yéo a, par ailleurs, invité les victimes, témoins et toutes les personnes concernées par les évènements sociopolitiques de 1990 à 2011 à se présenter à eux ou à recevoir les enquêteurs en vue de faire leurs dépositions.
"J’invite tous ceux qui ont été touchés par les crises successives qu’a connues notre pays de 1990 à 2011 à venir dire ce qu’ils ont subi", a-t-il lancé, soulignant l’importance de cette phase d’identification des victimes qui sera suivie de celle de la réparation.
rkk/ask