ABIDJAN - Un conteneur chargé de 10 tonnes de déchets de téléphones mobiles va quitter la Côte d’ Ivoire pour la France où vont être recyclés les déchets, à l’ initiative d’un géant mondial des télécommunications.
La collecte des mobiles a été lancée par l’inauguration mercredi à Abidjan d’un atelier de collecte et de démantèlement de mobiles par l’opérateur français Orange, selon un communiqué parvenu à Xinhua.
"A cette occasion, un premier conteneur chargé de 10 tonnes de déchets de mobiles va quitter la Côte d’Ivoire pour rejoindre la France et y être recyclé", indique le texte. Le premier atelier de collecte et démantèlement de mobiles en Afrique a vu le jour en mars 2010 au Burkina Faso suivi par trois autres ateliers qui ont été ouverts au Bénin, à Madagascar et au Niger.
"L’utilisation du mobile connaît une très forte croissance en Afrique et constitue, par conséquent, un enjeu écologique majeur", explique le communiqué.
Selon le texte, le continent compte déjà 500 millions de terminaux, mais aussi des millions de déchets de mobiles qui peuvent finir jetés ou brûlés, faute de filières de recyclage dans la majorité des pays africains.
En France, les déchets sont transformés par l’affinement des métaux rares qui sont à nouveau réutilisables pour la fabrication de nouveaux produits et équipements ou simplement "remis en état et reconditionnés puis revendus dans les pays émergents".
"Au total, depuis 2010, plus de 140 tonnes de déchets de mobiles ont déjà été acheminées en France pour y être revalorisées et plus de 30 emplois pérennes ont été ainsi créés dans les ateliers africains", assure le communiqué. La Côte d’Ivoire compte près de 20 millions d’abonnés de téléphonie mobile, selon des chiffres officiels.
La collecte des mobiles a été lancée par l’inauguration mercredi à Abidjan d’un atelier de collecte et de démantèlement de mobiles par l’opérateur français Orange, selon un communiqué parvenu à Xinhua.
"A cette occasion, un premier conteneur chargé de 10 tonnes de déchets de mobiles va quitter la Côte d’Ivoire pour rejoindre la France et y être recyclé", indique le texte. Le premier atelier de collecte et démantèlement de mobiles en Afrique a vu le jour en mars 2010 au Burkina Faso suivi par trois autres ateliers qui ont été ouverts au Bénin, à Madagascar et au Niger.
"L’utilisation du mobile connaît une très forte croissance en Afrique et constitue, par conséquent, un enjeu écologique majeur", explique le communiqué.
Selon le texte, le continent compte déjà 500 millions de terminaux, mais aussi des millions de déchets de mobiles qui peuvent finir jetés ou brûlés, faute de filières de recyclage dans la majorité des pays africains.
En France, les déchets sont transformés par l’affinement des métaux rares qui sont à nouveau réutilisables pour la fabrication de nouveaux produits et équipements ou simplement "remis en état et reconditionnés puis revendus dans les pays émergents".
"Au total, depuis 2010, plus de 140 tonnes de déchets de mobiles ont déjà été acheminées en France pour y être revalorisées et plus de 30 emplois pérennes ont été ainsi créés dans les ateliers africains", assure le communiqué. La Côte d’Ivoire compte près de 20 millions d’abonnés de téléphonie mobile, selon des chiffres officiels.