- Le sous-préfet d’Odienné (Nord-ouest), Zagou Serge Rodrigue, a effectué, vendredi, une visite de travail à Massadougou, l’une des sous-préfectures du département, pour sensibiliser les populations sur la déclaration des naissances et des décès à l’état-civil, afin de "donner la chance à chaque enfant d’avoir un extrait de naissance", a appris l’AIP, dimanche, auprès de l’administrateur civil.
Après un exposé du sous-préfet sur la nécessité de déclarer les naissances, particulièrement celles survenues lors de la crise militaro-politique, et les décès à l’état-civil, les populations qui ont compris le message ont envahi le bureau de circonstance, enregistrant, séance tenante, 56 nouvelles naissances.
Cette sortie du sous-préfet intervient à quelques jours de la fin du délai imparti (24 mois) par la loi 2013-35 du 25 janvier 2013 portant modification de l’article 2 de l’ordonnance 2011-258 du 28 septembre 2011 relative à l’enregistrement des naissances et des décès survenus durant la période de 2002 à 2011, rappelle-t-on.
Cette mesure prend fin le 31 juillet si elle n’est pas renouvelée, a révélé M. Zagou.
Si la nécessité de déclarer les naissances a été comprise par les populations de Massadougou, ce n’est pas encore le cas de la déclaration des décès, a-t-il regretté.
Il a indiqué que l’administration civile va poursuivre la sensibilisation pour emmener les populations à déclarer régulièrement les nouvelles naissances et les décès à l’état-civil.
ss/kkp/tm
Après un exposé du sous-préfet sur la nécessité de déclarer les naissances, particulièrement celles survenues lors de la crise militaro-politique, et les décès à l’état-civil, les populations qui ont compris le message ont envahi le bureau de circonstance, enregistrant, séance tenante, 56 nouvelles naissances.
Cette sortie du sous-préfet intervient à quelques jours de la fin du délai imparti (24 mois) par la loi 2013-35 du 25 janvier 2013 portant modification de l’article 2 de l’ordonnance 2011-258 du 28 septembre 2011 relative à l’enregistrement des naissances et des décès survenus durant la période de 2002 à 2011, rappelle-t-on.
Cette mesure prend fin le 31 juillet si elle n’est pas renouvelée, a révélé M. Zagou.
Si la nécessité de déclarer les naissances a été comprise par les populations de Massadougou, ce n’est pas encore le cas de la déclaration des décès, a-t-il regretté.
Il a indiqué que l’administration civile va poursuivre la sensibilisation pour emmener les populations à déclarer régulièrement les nouvelles naissances et les décès à l’état-civil.
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