Vachafa Doumbia, 36 ans, instituteur, père de trois enfants, a été condamné mardi à cinq ans de prison ferme par le tribunal de Gagnoa, pour attentat à la pudeur consommé sur son élève, une fillette de sept ans.
A l’origine des faits, Vachafa qui enseigne dans une Ecole primaire publique (EPP) de Gagnoa, semble ne plus contrôler sa libido devant une de ses élèves.
Pour conquérir l’objet de son désir sexuel maladif, l’instituteur concocte un stratagème qui ne peut éveiller la suspicion et les soupçons des observateurs les plus avertis. Sa trouvaille, envoyer la fillette faire un achat à la boutique à la fin des cours, au moment où les élèves rentrent à la maison, afin de se retrouver seul avec celle-ci.
Ainsi, le 08 avril, après les cours de l’après-midi, pendant que les élèves descendent, le maître l’envoie lui acheter de la cigarette, selon les propos de la fillette rapportés à la barre par sa marâtre.
A son retour, elle est seule avec son ‘’maître’’, les autres élèves ayant rejoint leurs domiciles. C’est alors que l’instituteur ferme la porte de la salle de classe et abuse du corps innocent de la frêle créature qui ne sait à quel saint se vouer, ne pouvant appeler au secours, étreinte qu’elle était par le poids de son maître. Non content de déchiqueter ses entrailles, ce dernier la menace de mort, si elle raconte ce qu’elle vient de subir à ses parents.
"Ma fille m’a expliqué que par deux fois, les 08 et 09 avril 2014, l’instituteur a abusé d’elle, et l’a sommée de ne dire mot à personne, sinon elle ne reverrait plus jamais son père, sa mère (la nouvelle femme de son père, ndlr) et son petit-frère’’, a expliqué la marâtre à la barre.
"Mme le juge, en tout cas, le médecin qui a consulté et ausculté ma fille a dit qu’il y a des hommes très sadiques, et qu’au vu des séquelles causées aux entrailles de la victime, les faits relèvent des actes d’une personne adulte’’, a-t-elle ajouté.
A la barre, à chaque évocation de ce que la fillette dit avoir subi, le maître s’écroule et tombe dans les pommes.
Après la plaidoirie des différents avocats, suivie du réquisitoire du procureur de la République, le tribunal a retenu la peine de cinq années de prison à l’encontre du "malveillant" instituteur.
ja/kkp/ask
A l’origine des faits, Vachafa qui enseigne dans une Ecole primaire publique (EPP) de Gagnoa, semble ne plus contrôler sa libido devant une de ses élèves.
Pour conquérir l’objet de son désir sexuel maladif, l’instituteur concocte un stratagème qui ne peut éveiller la suspicion et les soupçons des observateurs les plus avertis. Sa trouvaille, envoyer la fillette faire un achat à la boutique à la fin des cours, au moment où les élèves rentrent à la maison, afin de se retrouver seul avec celle-ci.
Ainsi, le 08 avril, après les cours de l’après-midi, pendant que les élèves descendent, le maître l’envoie lui acheter de la cigarette, selon les propos de la fillette rapportés à la barre par sa marâtre.
A son retour, elle est seule avec son ‘’maître’’, les autres élèves ayant rejoint leurs domiciles. C’est alors que l’instituteur ferme la porte de la salle de classe et abuse du corps innocent de la frêle créature qui ne sait à quel saint se vouer, ne pouvant appeler au secours, étreinte qu’elle était par le poids de son maître. Non content de déchiqueter ses entrailles, ce dernier la menace de mort, si elle raconte ce qu’elle vient de subir à ses parents.
"Ma fille m’a expliqué que par deux fois, les 08 et 09 avril 2014, l’instituteur a abusé d’elle, et l’a sommée de ne dire mot à personne, sinon elle ne reverrait plus jamais son père, sa mère (la nouvelle femme de son père, ndlr) et son petit-frère’’, a expliqué la marâtre à la barre.
"Mme le juge, en tout cas, le médecin qui a consulté et ausculté ma fille a dit qu’il y a des hommes très sadiques, et qu’au vu des séquelles causées aux entrailles de la victime, les faits relèvent des actes d’une personne adulte’’, a-t-elle ajouté.
A la barre, à chaque évocation de ce que la fillette dit avoir subi, le maître s’écroule et tombe dans les pommes.
Après la plaidoirie des différents avocats, suivie du réquisitoire du procureur de la République, le tribunal a retenu la peine de cinq années de prison à l’encontre du "malveillant" instituteur.
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