Le maire de Gagnoa, Médji Bamba, estime que la réconciliation s’impose aux Ivoiriens en général et aux populations de cette localité en particulier, après plus d'une décennie de crises sociales, militaires et politiques qui ont mis à mal la cohésion au sein de la société ivoirienne.
"La réconciliation s’impose aux Ivoiriens, comme respirer s’impose à nous. La réconciliation, c’est le +vivre ensemble+. On ne peut pas cloisonner les Ivoiriens par ethnies ou par religions. Donc, nous sommes condamnés à vivre ensemble’’, a déclaré, lundi, M. Bamba, à la fin de la prière de fin du Ramadan.
Selon l'officier d'Etat civil, Gagnoa est un "melting-pot" à l’image de la Côte d’Ivoire, au regard des "alliances au sein des communautés qui nous obligent au +vivre ensemble+ parce qu’aujourd’hui si vous rentrez dans une famille dioula, les enfants en boubou sont les neveux des Bété, Baoulé, Dida ou Agni, parce que leurs mamans sont issues de ces ethnies.’’
"Cette situation déjà nous oblige à la réconciliation, ne serait-ce que pour notre avenir puisque les enfants sont notre avenir et l’avenir du pays’’, soutient-il, avant de ‘’prier donc Dieu, à la suite des Imams, des chefs de communautés et de village pour que la paix, la vraie paix, soit sur Gagnoa par la réconciliation de tous ses fils, mais aussi sur la Côte d’Ivoire.’’
Le maire de Gagnoa était à la prière de l’Aïd El-Fitr à la grande mosquée de la commune pour laquelle l’imam central, El Hadj Abdouramane Kamaté, a officié en présence du secrétaire général 2 de la préfecture, Joseph Opoué Ackoh, et du président du Conseil régional, Joachim Djédjé Bagnon.
ja/kkp/ask
"La réconciliation s’impose aux Ivoiriens, comme respirer s’impose à nous. La réconciliation, c’est le +vivre ensemble+. On ne peut pas cloisonner les Ivoiriens par ethnies ou par religions. Donc, nous sommes condamnés à vivre ensemble’’, a déclaré, lundi, M. Bamba, à la fin de la prière de fin du Ramadan.
Selon l'officier d'Etat civil, Gagnoa est un "melting-pot" à l’image de la Côte d’Ivoire, au regard des "alliances au sein des communautés qui nous obligent au +vivre ensemble+ parce qu’aujourd’hui si vous rentrez dans une famille dioula, les enfants en boubou sont les neveux des Bété, Baoulé, Dida ou Agni, parce que leurs mamans sont issues de ces ethnies.’’
"Cette situation déjà nous oblige à la réconciliation, ne serait-ce que pour notre avenir puisque les enfants sont notre avenir et l’avenir du pays’’, soutient-il, avant de ‘’prier donc Dieu, à la suite des Imams, des chefs de communautés et de village pour que la paix, la vraie paix, soit sur Gagnoa par la réconciliation de tous ses fils, mais aussi sur la Côte d’Ivoire.’’
Le maire de Gagnoa était à la prière de l’Aïd El-Fitr à la grande mosquée de la commune pour laquelle l’imam central, El Hadj Abdouramane Kamaté, a officié en présence du secrétaire général 2 de la préfecture, Joseph Opoué Ackoh, et du président du Conseil régional, Joachim Djédjé Bagnon.
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