Les sous-préfectures de Grabo, de Djroutou et d’Olodio "sont très peu couvertes" pour les séances d’audition des victimes des crises survenues en Côte d’Ivoire à cause de leur éloignement du chef-lieu de département, Tabou, où est implanté le seul centre d’écoute, a déploré mercredi le coordonnateur des auditions et enquêtes de la Commission dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) de la région de San-Pedro, Armand Hilé Clarck.
"Olodio est à environ 50 km de Tabou, Grabo à 70 km et Djouroutou à 150 km. A cela, il faut ajouter le coût élevé du transport. Par exemple, pour quitter Djouroutou et y retourner, il faut débourser 14.000 FCFA. Ce qui n’est pas évident pour les populations rurales", a expliqué M. Hilé lors d’un entretien avec l’AIP.
Il a souhaité l’ouverture d’autres centres d’écoute et la prorogation des auditions débutées le 08 mai dans la localité et qui s’achèvent jeudi.
bb/aaa/kkp/ask
"Olodio est à environ 50 km de Tabou, Grabo à 70 km et Djouroutou à 150 km. A cela, il faut ajouter le coût élevé du transport. Par exemple, pour quitter Djouroutou et y retourner, il faut débourser 14.000 FCFA. Ce qui n’est pas évident pour les populations rurales", a expliqué M. Hilé lors d’un entretien avec l’AIP.
Il a souhaité l’ouverture d’autres centres d’écoute et la prorogation des auditions débutées le 08 mai dans la localité et qui s’achèvent jeudi.
bb/aaa/kkp/ask