Abidjan - Un atelier sur le "lancement de l’initiative pilote de promotion des Achats publics durables (APD) en Côte d’Ivoire" se tient à Abidjan, de mercredi à vendredi, à l'initiative du ministère de L’Environnement, de la Salubrité urbaine et du Développement durable(MINESUDD).
Le MINESUDD bénéficie de la collaboration de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), de l’Institut de la Francophonie pour le développement durable (IFDD), du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) et de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).
Cet atelier a pour objectif de sensibiliser les décideurs en charge de la régulation des marchés publics et du développement durable sur la démarche APD, en vue de convenir d’une feuille de route pour le déploiement de cette réforme dans le pays. Les travaux devront aboutir à l'élaboration d'"une feuille de route globale" pour tous les pays membres de l’UEMOA, au terme de cette phase pilote.
Le représentant du MINESUDD, Dr Aboua Gustave, a souligné que les achats durables sont des achats de produits ou services "plus respectueux de l’environnement et fabriqués dans des conditions socialement responsables". "En fait, il s’agit de prendre en compte les principes du développement durable dans les achats publics, surtout les modes de consommation et de production durable", a-t-il expliqué.
Pour le représentant du PNUE, Farid Yaker, la Côte d’Ivoire est le premier pays de l’Afrique de l’Ouest à s’engager sur la voie de la promotion des APD intégrant l’économie verte. "Sachez que vous pouvez compter sur le soutien du PNUE pour que ce projet soit une réussite", a-t-il fait savoir.
Celui de l’UEMOA, Eric Patrick, a soutenu que la Côte d’Ivoire et le Sénégal constitueront la rampe de lancement de cette initiative en Afrique de l’Ouest. A leur suite, viendront les autres pays. "L’UEMOA fera en sorte qu’il y ait un marché public vert, un marché à cotation sociale", a-t-il ajouté.
Le représentant du président de l’Autorité de régulation des marchés publics, Paulin Konan, a déclaré pour sa part que la Côte d’Ivoire qui est "résolument sur la voie de l’émergence", met dans son programme de développement son engagement "dans les reformes de seconde génération incluant les questions environnementales et sociales".
(AIP)
amak/kkp/ask
Le MINESUDD bénéficie de la collaboration de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), de l’Institut de la Francophonie pour le développement durable (IFDD), du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) et de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).
Cet atelier a pour objectif de sensibiliser les décideurs en charge de la régulation des marchés publics et du développement durable sur la démarche APD, en vue de convenir d’une feuille de route pour le déploiement de cette réforme dans le pays. Les travaux devront aboutir à l'élaboration d'"une feuille de route globale" pour tous les pays membres de l’UEMOA, au terme de cette phase pilote.
Le représentant du MINESUDD, Dr Aboua Gustave, a souligné que les achats durables sont des achats de produits ou services "plus respectueux de l’environnement et fabriqués dans des conditions socialement responsables". "En fait, il s’agit de prendre en compte les principes du développement durable dans les achats publics, surtout les modes de consommation et de production durable", a-t-il expliqué.
Pour le représentant du PNUE, Farid Yaker, la Côte d’Ivoire est le premier pays de l’Afrique de l’Ouest à s’engager sur la voie de la promotion des APD intégrant l’économie verte. "Sachez que vous pouvez compter sur le soutien du PNUE pour que ce projet soit une réussite", a-t-il fait savoir.
Celui de l’UEMOA, Eric Patrick, a soutenu que la Côte d’Ivoire et le Sénégal constitueront la rampe de lancement de cette initiative en Afrique de l’Ouest. A leur suite, viendront les autres pays. "L’UEMOA fera en sorte qu’il y ait un marché public vert, un marché à cotation sociale", a-t-il ajouté.
Le représentant du président de l’Autorité de régulation des marchés publics, Paulin Konan, a déclaré pour sa part que la Côte d’Ivoire qui est "résolument sur la voie de l’émergence", met dans son programme de développement son engagement "dans les reformes de seconde génération incluant les questions environnementales et sociales".
(AIP)
amak/kkp/ask
