Côte D'Ivoire - La cérémonie de lancement du projet d’appui à la filière palmier à huile pour l’interprétation nationale visant à adapter et à promouvoir la démarche de certification au Standard Round stable for sustainable palm oïl (RSPO) auprès des acteurs de cette filière en Côte d’Ivoire s’est tenue, lundi, à Abidjan, a constaté APA.
« Il est en effet indispensable de faire l'interprétation nationale du standard RSPO afin de permettre à tous les acteurs d'entreprendre aisément leur démarche de certification », a déclaré le vice-président de l'Association interprofessionnelle de la filière palmier à huile (Aiph), Constantin Kouassi.
Toutefois, M. Kouassi a souligné que les principes RSPO nécessitent une interprétation à l'échelle nationale pour les adapter à la situation et aux contextes ivoiriens.
« Il s'agira de réviser et d'adapter les indicateurs associés à chacun des critères. A la fin de ce processus, l'interprétation nationale du standard RSPO deviendra le document standard applicable pour l'obtention des certifications RSPO par les acteurs de la filière palmier à huile de Côte d'Ivoire », a-t-il expliqué.
Le directeur général des productions et de la sécurité alimentaire, Gooré Bi a rappelé, pour sa part, que le RSPO répond à un besoin urgent de l'huile de palme et vise à assurer la promotion de la croissance et de l'utilisation d'une huile de palme qui répond à des critères mondiaux précis et crédibles de durabilité.
« L'objectif est de garantir la traçabilité de l'huile de palme, de la production jusqu'à la consommation », a-t-il indiqué, ajoutant que cette orientation qui illustre, suffisamment, les enjeux de la culture du palmier à huile et son avenir dans le commerce international doivent interpeler tous les pays producteurs.
En Côte d'Ivoire comme en Afrique, l'huile de palme est un aliment de base qui revêt une importance économique et sociale essentielle à ces pays producteurs. Largement utilisée dans l'agro-alimentaire, elle est devenue la première huile végétale au monde.
Elle a un taux de croissance de 9,5% par an et sa production mondiale est passée de 24,3 millions de tonnes en 2000-2001 à environ 50 millions de tonnes en 2012.
En Côte d'Ivoire, l'huile de palme contribue à 3,13% au Produit intérieur brut (PIB) avec une production moyenne de 1.700.000 tonnes de régimes et plus de 400.000 tonnes d'huile brute pour une superficie d'environ 210.000 hectares.
Selon le gouvernement ivoirien, l'huile de palme pourvoit plus de 200.000 emplois réguliers et fait vivre plus de 2.000.000 de personnes dans ce pays.
« Il est en effet indispensable de faire l'interprétation nationale du standard RSPO afin de permettre à tous les acteurs d'entreprendre aisément leur démarche de certification », a déclaré le vice-président de l'Association interprofessionnelle de la filière palmier à huile (Aiph), Constantin Kouassi.
Toutefois, M. Kouassi a souligné que les principes RSPO nécessitent une interprétation à l'échelle nationale pour les adapter à la situation et aux contextes ivoiriens.
« Il s'agira de réviser et d'adapter les indicateurs associés à chacun des critères. A la fin de ce processus, l'interprétation nationale du standard RSPO deviendra le document standard applicable pour l'obtention des certifications RSPO par les acteurs de la filière palmier à huile de Côte d'Ivoire », a-t-il expliqué.
Le directeur général des productions et de la sécurité alimentaire, Gooré Bi a rappelé, pour sa part, que le RSPO répond à un besoin urgent de l'huile de palme et vise à assurer la promotion de la croissance et de l'utilisation d'une huile de palme qui répond à des critères mondiaux précis et crédibles de durabilité.
« L'objectif est de garantir la traçabilité de l'huile de palme, de la production jusqu'à la consommation », a-t-il indiqué, ajoutant que cette orientation qui illustre, suffisamment, les enjeux de la culture du palmier à huile et son avenir dans le commerce international doivent interpeler tous les pays producteurs.
En Côte d'Ivoire comme en Afrique, l'huile de palme est un aliment de base qui revêt une importance économique et sociale essentielle à ces pays producteurs. Largement utilisée dans l'agro-alimentaire, elle est devenue la première huile végétale au monde.
Elle a un taux de croissance de 9,5% par an et sa production mondiale est passée de 24,3 millions de tonnes en 2000-2001 à environ 50 millions de tonnes en 2012.
En Côte d'Ivoire, l'huile de palme contribue à 3,13% au Produit intérieur brut (PIB) avec une production moyenne de 1.700.000 tonnes de régimes et plus de 400.000 tonnes d'huile brute pour une superficie d'environ 210.000 hectares.
Selon le gouvernement ivoirien, l'huile de palme pourvoit plus de 200.000 emplois réguliers et fait vivre plus de 2.000.000 de personnes dans ce pays.