Abidjan (AIP) – L’Union des ressortissants des Etats membres de la CEDEAO en Côte d’Ivoire (UREM-CEDEAO-CI) a organisé jeudi à la Bourse du travail de Treichville, une cérémonie solennelle et culturelle sur l’intégration sous-régionale portant sur le thème "Promouvoir l’intégration sous-régionale pour une vie harmonieuse entre les populations de la CEDEAO".
« L’UREM-CEDEAO-CI, prototype de l’intégration sous-régionale, est à l’avant-garde de ce combat de paix, gage d’un développement durable dans l’Union, la cohésion et la solidarité », a expliqué son président, Al Hassan Demba, pour justifier cette autre activité visant à promouvoir l’intégration entre les ressortissants des 15 pays membres de la CEDEAO vivant en Côte d’Ivoire.
Il a profité de cette cérémonie à la fois solennelle et festive pour réitérer ses encouragements au Président ivoirien, Alassane Ouattara, pour toutes ses actions en faveur du « vivre ensemble ».
Assurant les autorités nationales de l’appui de l’UREM-CEDEAO-CI dans toutes leurs initiatives visant le bien-être et la solidarité entre les différentes communautés, Al Hassann Demba a sollicité, pour ce faire, un appui matériel, logistique et financier (siège fonctionnel, véhicules tout terrain, etc.), en vue de mener à bien le programme sur lequel il a été démocratiquement élu par les représentants des 15 Etats membres de la CEDEAO, il y a un an.
Pour sa part, le député de Treichville, Mme Amy Toungara, en sa qualité de marraine, s’est réjouie du choix de la commune cosmopolite d’Abidjan, où est né le Rassemblement démocratique africain (RDA) en 1945, pour abriter cette cérémonie.
Pour le député membre du parlement de la CEDEAO, il est aujourd’hui, plus que nécessaire, que les populations ouest-africaines raffermissent leurs liens de solidarité et leur intégration. Pour ce faire, elle a préconisé l’accélération du processus à travers des projets transformateurs et intégrateurs autour de la sécurité, la stabilité, la libre circulation des personnes et des biens, et le vivre ensemble.
« Sans paix, il n’y a pas de développement », a-t-elle conclu, après avoir félicité M. Demba pour la mobilisation en faveur de l’intégration sous-régionale et pour une vie paisible entre les populations. La cérémonie, ponctuée par des spectacles culturels (danses de différentes communautés, sketches…), s’est tenue en présence notamment de représentants diplomatiques, administratifs, politiques et coutumiers des 15 pays membres de la CEDEAO.
(AIP)
cmas
« L’UREM-CEDEAO-CI, prototype de l’intégration sous-régionale, est à l’avant-garde de ce combat de paix, gage d’un développement durable dans l’Union, la cohésion et la solidarité », a expliqué son président, Al Hassan Demba, pour justifier cette autre activité visant à promouvoir l’intégration entre les ressortissants des 15 pays membres de la CEDEAO vivant en Côte d’Ivoire.
Il a profité de cette cérémonie à la fois solennelle et festive pour réitérer ses encouragements au Président ivoirien, Alassane Ouattara, pour toutes ses actions en faveur du « vivre ensemble ».
Assurant les autorités nationales de l’appui de l’UREM-CEDEAO-CI dans toutes leurs initiatives visant le bien-être et la solidarité entre les différentes communautés, Al Hassann Demba a sollicité, pour ce faire, un appui matériel, logistique et financier (siège fonctionnel, véhicules tout terrain, etc.), en vue de mener à bien le programme sur lequel il a été démocratiquement élu par les représentants des 15 Etats membres de la CEDEAO, il y a un an.
Pour sa part, le député de Treichville, Mme Amy Toungara, en sa qualité de marraine, s’est réjouie du choix de la commune cosmopolite d’Abidjan, où est né le Rassemblement démocratique africain (RDA) en 1945, pour abriter cette cérémonie.
Pour le député membre du parlement de la CEDEAO, il est aujourd’hui, plus que nécessaire, que les populations ouest-africaines raffermissent leurs liens de solidarité et leur intégration. Pour ce faire, elle a préconisé l’accélération du processus à travers des projets transformateurs et intégrateurs autour de la sécurité, la stabilité, la libre circulation des personnes et des biens, et le vivre ensemble.
« Sans paix, il n’y a pas de développement », a-t-elle conclu, après avoir félicité M. Demba pour la mobilisation en faveur de l’intégration sous-régionale et pour une vie paisible entre les populations. La cérémonie, ponctuée par des spectacles culturels (danses de différentes communautés, sketches…), s’est tenue en présence notamment de représentants diplomatiques, administratifs, politiques et coutumiers des 15 pays membres de la CEDEAO.
(AIP)
cmas