Les dirigeants des Etats membres de l’Union du fleuve Mano (Sierra Leone, Liberia, Guinée et Côte d’Ivoire) et leurs partenaires au développement comme l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), en réunion extraordinaire à Conakry, ont appelé vendredi à une mobilisation internationale contre la fièvre Ebola, qui "avance plus vite" que les efforts pour l'éradiquer.
Présidé par Alpha Condé, le mini-sommet a réuni à Conakry, Ernest Bai Koroma de la Sierra Leone, Ellen Johnson Sirleaf du Liberia, la ministre ivoirienne de la Santé Raymonde Goudou Coffie représentant Alassane Ouattara et la Directrice régionale de l'OMS, Margaret Chan.
Il était question pour les participants de passer en revue la situation de la fièvre Ebola et adopter des stratégies communes en vue de la riposte dans la sous-région.
"Ebola est un problème international qui mérite une réponse internationale. C'est pourquoi nous, Chefs d'Etat, nous engageons à jouer notre rôle pour mettre fin à la progression d'Ebola dans les meilleurs délais", indique le communiqué final sanctionnant la rencontre.
Les Etats membres de l'Union ont demandé un appui de la communauté internationale en vue de renforcer les capacités pour la surveillance, le suivi de contacts, la gestion des cas et les capacités des laboratoires.
"Nous, Chefs d'Etat, voulons assurer la Communauté Internationale que la maladie ne va pas être exportée et que nous avons pris des mesures au niveau des ports internationaux d'entrée. Les contacts et les personnes sous surveillance seront listées et les informations seront fournies à chaque Etat membre", lit-on encore dans le communiqué final.
La fièvre Ebola a fait 729 victimes sur 1.323 cas dans la sous-région.
AB/od/APA
Présidé par Alpha Condé, le mini-sommet a réuni à Conakry, Ernest Bai Koroma de la Sierra Leone, Ellen Johnson Sirleaf du Liberia, la ministre ivoirienne de la Santé Raymonde Goudou Coffie représentant Alassane Ouattara et la Directrice régionale de l'OMS, Margaret Chan.
Il était question pour les participants de passer en revue la situation de la fièvre Ebola et adopter des stratégies communes en vue de la riposte dans la sous-région.
"Ebola est un problème international qui mérite une réponse internationale. C'est pourquoi nous, Chefs d'Etat, nous engageons à jouer notre rôle pour mettre fin à la progression d'Ebola dans les meilleurs délais", indique le communiqué final sanctionnant la rencontre.
Les Etats membres de l'Union ont demandé un appui de la communauté internationale en vue de renforcer les capacités pour la surveillance, le suivi de contacts, la gestion des cas et les capacités des laboratoires.
"Nous, Chefs d'Etat, voulons assurer la Communauté Internationale que la maladie ne va pas être exportée et que nous avons pris des mesures au niveau des ports internationaux d'entrée. Les contacts et les personnes sous surveillance seront listées et les informations seront fournies à chaque Etat membre", lit-on encore dans le communiqué final.
La fièvre Ebola a fait 729 victimes sur 1.323 cas dans la sous-région.
AB/od/APA